Jayson Whittingham reposa ses yeux un moment. Dans l’obscurité de son être, l’homme borda un sourire macabre sur ses lèvres. Un premier pas dans la maison de cette défunte Ida et aussitôt, un sentiment de fierté envahit l’individu. Pourrait-on le classer de psychopathe ? Peut-être pas, après tout, cette vieille peau allait mourir qu’il soit là ou pas. Lui et Savannah obtenaient une maison, de l’argent et un nouveau départ tandis que mémé s’envolait vers un nouveau monde la conscience paisible d’avoir eu une mort remplie d’affection de la part de ce couple de profiteur. C’est en ouvrant les yeux qu’il constata que l’état des lieux ne ressemblait guère à une luxueuse villa de Hollywood, mais avec un peu d’effort, il pourrait rendre ce cocon quelque peu douillet. En déviant le regard vers la beauté blonde qui s’empressa de rejoindre son compagnon de vie, un sourire charmeur rejoignit le visage du ténébreux qui accentuait précédemment un air des plus lourds. « Je ne m’attendais pas à une merde de ce genre, mais bon, la vieille Ida n’avait plus vraiment l’usage de ses bras pour entretenir sa baraque, on va s’y faire. C’est grand et je vois beaucoup de potentiel ! » Il se mit à rire et déposa un carton près de l’entré. « Tu as vu ça chérie ! » Dit-il en éclatant de rire. L’homme constata qu’une statuette de la sainte vierge était exposé dans une armoire vitrine antique et qu’un crucifie bornait le haut de la porte qui donnait droit dans la salle de séjour. Il sauta vite sur une chaise, s’empressa d’arracher le morceau de bois et de sortir la bonne femme de l’armoire et lança tout ça droit dans le foyer. « Tu as un briquet ma puce ? »

Il fallait dire que le couple avait eu beaucoup de chance d’apprendre l’existence d’une vieille tante Alzheimer. Sans elle, ils n’auraient pas eu de seconde chance. Ils auraient probablement croupis en prison à New York ou bien se seraient remis dans de beaux draps à Atlanta…ce qui n’était guère mieux. Enfin, la blondinette n’était pas tellement une fille de banlieue, mais les dernières semaines avaient développé quelque chose chez elle. Sav se sentait plus calme, plus reposée que jamais. Certes la route avait été quelque peu pénible, entassé avec les quelques cartons qu’ils avaient pu apporter de leur appartement jusqu’à la grande maison qu’ils avaient eu en héritage. Ils n’y avaient jamais mis les pieds encore…ils n’avaient vu que les murs de l’hôpital de la chambre d’Ida, la tante en question. Enfin la blonde claqua sa portière, attrapant son sac à main de cuir beige et s’approcha doucement de la porte d’entrée de la maison, que son amoureux avait déjà franchie. Naleigh mis un instant avant de s’habituer à la noirceure de la demeure…tous les rideaux étaient fermés, signifiants aux autres voisins qu’il n’y avait personne à la maison. « Je ne m’attendais pas à une merde de ce genre, mais bon, la vieille Ida n’avait plus vraiment l’usage de ses bras pour entretenir sa baraque, on va s’y faire. C’est grand et je vois beaucoup de potentiel ! » La blonde sourit tendrement. C’était mieux que de vivre sur un banc de parc comme elle l’avait déjà fait…tant qu’il y avait une douche, un frigo et du chauffage, Sav était la plus comblée des femmes. On aura qu’à peinturer… c’est facile et radical par moment Lui dit-elle tout en ouvrant le battant d’un store à l’horizontal. Une lumière jahis soudain alors que Jayson agrippait une chaise pour y monter. Savannah fronça les sourcils, se demandant ce qui se passait, puis compris lorsque le rouquin lança l’objet en question dans le foyer de la grande maison. Elle pouffa de rire avant de fouiller dans son sac à main. Je ne sors jamais sans feu, tu le sais! Puis elle lui tendis son briquet rose fushia. La belle blonde retourna se poster près de la fenêtre d’entrée. La voisine d’en face me fait des byebyes… ne me dit pas qu’on a hérité d’une folle avec tout le reste? Un faux sourire se dessina sur son visage alors qu’elle imitait la dame de l’autre côté de la rue, c’était drôle à voir.

Jayson se surprit déjà à faire le tri des affaires de cette bonne vieille Ida. Cette hipie n’avait certainement pas de goût en matière de décoration, mais il fallait lui laisser une chance, elle venait des années 30 tout de même. En montant sur la chaise pour décrocher le crucifie, l’homme s’emprisonna dans une grande toile d’araignée. Les dents serrés, Jay se débattit quelque peu pour retirer ces immondes fils blancs bordés de poussière. Whittingham retomba sur ses pieds et avança d’un pas pour agripper le briquet de sa douce. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de l’homme. « Merci. » Dit-il tout simplement. Le barman attrapa une vieille buche qui trainait dans la boîte à bois à quelques centimètres du foyer, jeta tout ce qu’il voyait en lien avec la religion ainsi que la nappe en dentelle qui recouvrait la table basse du salon pour allumer plus facilement son feu. Une fois le tout partie, il se releva, tapotant ses mains et secoua son pantalon rempli de suie. « Sérieux, il va falloir se trouver une bonne… mes allergies m’empêchent de respirer ! » Il ne disait pas ça sérieusement, mais la saleté lui donnait tout de même des maux de gorge. Jayson détourna le visage suite au commentaire cocasse de sa conjointe. Avant même de pouffer de rire, il avança d’un pas sans changer la moindre partielle de son visage impartiale, laissant seulement son bras se porter au cordon du rideau qui referma ce dernier face à la femme qui s’accourait vers la maison de manière de plus en plus écœurante. « Elle ne nous a pas vu, restons sur cette hypothèse. » Dit-il sur un ton à la fois serin et amusé. « Je suppose que ce n’est pas la seule cinglée de la rue, espérons qu’ils ne le sont pas tous. » Évidemment, la sonnette retentie. Tout comme le reste de cette maison, le son de celle-ci ressemblait à un vieux manoir fantôme digne d’un conte d’horreur. « La première chose que je fais en allant à la quincaillerie, c’est d’acheter une nouvelle sonnette… » Le simple retentit de cette dernière lui crispa les dents. Cette femme semblait prendre un plaisir à la relancer encore et encore. « Fuck, elle est plus barge que je croyais ! »

Rapidement une lueur orangée décora les murs vieillots de la maison. Une chaleur, faible mais plaisante remonta jusqu’à la blondinette qui regardait son amoureux s’approcher d’elle et de la fenêtre de l’entrée. D’une main plus qu’agile, Jayson referma les stores, bloquant ainsi la vue de cette cinglée de ménagère en manque de vie sociale. « Elle ne nous a pas vu, restons sur cette hypothèse. » Savannah en doutait fortement, au sourire qu’elle avait eu le cran d’afficher alors qu’elle lui envoyait des tatas comme une folle lui laissait présager un mauvais moment à passer en sa compagnie future… malheureusement pour le couple, Sloan avait vu juste. Non mais tu as vue le quartier aussi? On se croirait dans cette série avec la fille au nom de fromage et la mexicaine en chaleur! À première vue je crois qu’on est les seuls êtres décents de cette rue complète mon chéri! Savannah se recula, se frottant les deux mains ensemble, tentant de faire disparaitre la poussière qui s’y était logée en ouvrant les stores horizontaux. Va pour une femme de ménage, j’ai pas du tout envie de me taper toute cette saleté seule… de toute manière je n’aurai pas le temps avec le bar! Elle haussa les épaules, ne sachant pas quoi d’autre ajouté, se disant que c’était déjà bien assez comme arguments. Puis, alors que la belle Barmaid s’apprêtait à s’avancer dans la maison poussiéreuse, la sonnette retenti. Sans même réfléchir, la blonde éclata de rire. On dirait un orge dysfonctionnel! Le bruit était strident même, un vrai hit de film d’horreur, heureusement que son copain voyait comme elle et irait acheter une nouvelle sonnette sous peu. c’est la voisine dingue? Qu’est-ce qu’on fait…on ouvre? Un immense sourire se forma sur son visage, elle espérait vraiment que cette femme ait la frousse en les voyants pas aussi parfaits qu’elle ne pouvait l’être en apparences.

Devoir supporter des voisins ignobles, ce n’était certainement pas ce que Jayson Whittingham aurait imaginé en héritant de la propriété de tante Ida. L’évidence perturbait le rouquin qui se verrait contraint de voir accepter le fait que vivre en communauté allait être dérangeant. Il opina sévèrement et écouta sa femme qui tentait de citer une série dont il n’en avait tout simplement aucune idée. « Tu sais que je regarde pas ce genre de banalité Sav… enfin, je vois le cliché de cette rue et pas qu’à peu près ! » Avoua l’homme en riant dans sa barbe. Le pressentie de Sloan faisait malheureusement parlé de lui-même, la folle d’en face venait tout juste de sonner à leur porte et Jay se voyait enragé par ce genre de dérangement. « Au fait, je pense avoir trouvé un local parfait pour le bar, l’ex propriétaire a été retrouvé morte, je pense qu’on peut s’en emparer pour une bouchée de pain ! » Il lui désigna un clin d’œil. Avant de répliquer sur l’orge qui venait de frapper à leur résidence, Jayson se demandait ce qu’ils pourraient bien faire pour s’en débarrasser. Il fronça les sourcils et soupira. « Je pense qu’on ne peut pas faire autrement que lui répondre, on va tout de même ouvrir un bar et être habitant de cette ville pour de bon… si on ne veut pas recevoir les foudres des habitants et voir nos jolies p’tits secrets ressurgir, on risque de devoir jouer un peu le jeu…. » Aussitôt, Whittingham descendit la braguette de son pantalon, retira sa chemise et passa ses mains dans sa chevelure pour la rendre bouffonne. Il sourit à Savannah et déchira d’un coup sec le chemisier qu’elle portait à l’instant. « On peut ouvrir maintenant ! » Dit-il en souriant amusé.

« Tu sais que je regarde pas ce genre de banalité Sav… enfin, je vois le cliché de cette rue et pas qu’à peu près ! » Savannah sourit en coin, elle savait très bien que son amoureux ne regardait pas ce genre de séries télévisées, mais quand même, il voyait très bien ce qu’elle voulait dire et c’était ça l’important. Évidemment ils n’auraient d’autres choix que d’enfin ouvrir à la folle de voisine qui sonnait pour la troisième fois chez les Whittingham. « Au fait, je pense avoir trouvé un local parfait pour le bar, l’ex propriétaire a été retrouvé morte, je pense qu’on peut s’en emparer pour une bouchée de pain ! » La belle blonde opina , heureusement qu’ils avaient eu un peu d’argent avec la mort de cette vieille tante…jouer les bonnes femmes douce et compréhensive avait été pénible pour Savannah, mais d’un côté ça avait été payant, bien plus que de cambrioler des diamants qui au final, ne les avaient que fait perdre tout ce qu’ils avaient… « Je pense qu’on ne peut pas faire autrement que lui répondre, on va tout de même ouvrir un bar et être habitant de cette ville pour de bon… si on ne veut pas recevoir les foudres des habitants et voir nos jolies p’tits secrets ressurgir, on risque de devoir jouer un peu le jeu…. » Encore une fois le rouquin n’avait pas tort…seulement il était évident que ce ne serait pas ce genre de personnage qui se pointerait dans leur bar et elle le lui expliqua. Crois-tu vraiment qu’on verra ce genre de mégère dans notre bar? Nah on y verra leur maris désespérés plutôt, alors les boniches on s’en tape ! Sur ce, il lui arracha son chemisier. Heureusement que je l’ai eu à rabais! Dit-elle tout en ébouriffant ses cheveux alors que son copain ouvrait la porte en grand. Heyyy bonjour! Vous êtes la voisine je crois… enfin si c’était vous qui me faisiez des tatas comme une dégénérée à la fenêtre, sinon excusez-moi de vous prendre pour une cinglée! Savannah avait toujours le don pour les discussions embarrassantes. Oui, nous sommes bien les Whithingham, les rumeurs sont fondées ma belle!

La simple idée d’ouvrir un bar dans une petite ville où les ragots se propageaient si rapidement qu’on ne pouvait même pas les attendre le rendait perplexe. Il espérait seulement que tout se passe bien et qu’ils n’avaient pas fait le mauvais choix. Après tout, ils auraient bien pu ouvrir un truc directement à Atlanta ? Là-bas, tout passait presque inaperçu. C’est d’un sourire inquiet, mais ravi de ce nouveau départ que le futur propriétaire d’un commerce opina à sa douce. « Tu dois avoir raison… on peut bien en traumatiser une ou deux dans cette rue…. » Il lui fit un clin d’œil et se jeta droit sur ses vêtements. Une fois la mise en scène parfaite, l’homme se dirigea auprès de sa douce jusqu’à l’embrassure de la porte qui venait d’être ouverte par le biais de sa compagne de vie. Whittingham se gratta l’arrière de la tête pour démontrer à la voisine qu’elle venait de les déranger. Il arriva à peine un laps de temps après derrière la blondinette et l’enlaça. « B’jour.. » Dit-il doucement sans vraiment démontrer un réel intérêt à ce que la femme racontait suite au commentaire déplacé de sa douce. Malgré tout, le rouquin ria dans sa barbe. « Je suis bien la voisine…. Je m’appelle Nicole Garner… j’étais une grande amie de Ida. Vous êtes son neveu je présume ? » Dit la vieille. Jayson hocha de la tête. « Ouais m’dame. » Mais il ne rajouta rien à la conversation. « Ida était malade depuis si longtemps, je présume que la maison doit être dans un sale état, puis-je entrer ? » Jayson serra des dents. Il n’avait certainement pas envie de voir cette boniche entrer dans la maison surtout qu’ils avaient du pain sur la planche. « Madame Garner… nous préférions pas. La maison est dans un sale état et la route a été longue …. Un autre fois peut-être. » Et il referma sans la laisser parler la porte au nez. « Bon débaras, idiote ! »

Non mais pour qui se prenait-elle cette mégère, s’inviter chez les gens comme ça, sans même les connaitre?! Savannah lui souhaitait d’un jour tomber sur un tueur en série qui lui ferait bien payer son manque de savoir-vivre… pff! En tout cas la différence entre la grande ville de New York et cette petite banlieue de Lakeview était flagrante; jamais un inconnu ne serait venue les saluer premièrement et puis personne ne serait venue leur demander d’entrée comme ça à l’improviste pour voir une maison…pour ces points, la blonde s’ennuierait de son ancien chez soi, mais elle savait qu’une grande maison lui donnerait le goût de rester encore un moment…une fois qu’elle serait un peu plus en état évidemment.  « Madame Garner… nous préférions pas. La maison est dans un sale état et la route a été longue …. Un autre fois peut-être. » Naleigh opina d’un geste de la tête et ajouta en souriant ; Oui très longue et comme vous vous en doutez, on a beaucoup à faire…il y a beaucoup de pièces dans cette maison…vous savez ce que c’est! La blondinette y repensa deux secondes puis ajouta bêtement; Ou pas. Alors que son amoureux refermait la porte pour lancer un injure à son propos. La belle Sloan ne pouvait qu’opiner une fois de plus. Elle aurait au moins pu nous apporter de quoi manger comme les vraies femmes d’intérieurs américaines, non?! Sur ce, elle s’éloigna de la porte.

Cela faisait à peine 5 minutes que le couple Whittingham-Sloan était arrivé et déjà, ils se faisaient une ennemi dans cette petite ville où les ragots circulaient sans arrêt. Jayson ne s’intéressait guère à ce que cette vieille bic pouvait raconter à leur sujet, il ne souhaitait pas se coltiner une folle dans son genre. Une fois la porte fermée, il tourna talon jusqu’à la salle de séjour l’air songeur et un peu énervé par le comportement de cette peste. Comment pouvait-elle s’inviter de la sorte chez des inconnus ? Enfin, il soupira. « Attention, on va passer dans le journal pour avoir refermé la porte à une vieille folle… » Dit-il ironiquement. Évidemment, Jay savait parfaitement qu’ils ne feraient pas la une du journal du lendemain pour quelque chose du genre, mais il voulait mettre l’emphase sur les commérages que cet événement allait entrainer au sein de cette communauté. Le commentaire que lui balança son amoureuse laissa Jayson emprise d’un profond rire. « Ouais, j’aurais bien mangé un bouillis de bœuf ou bien une tarte aux pommes ce soir, on travaille fort tous les deux ! » Whittingham jeta un regard par la fenêtre et aperçu une autre femme s’approcher de leur résidence, un plat à la main. « Non, mais je rêve putain ? Regarde dehors chérie ? » Dit-il en pointant l’autre voisine qui s’approchait du porche de leur résidence. « On joue le gentil couple cette fois ? » Dit-il en riant. « Sauf si c'est du poisson, dieu que je haie ça ! Dans ce cas, elle repartirait avec la truite sur la tête ! »

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Expéditeur: Unknown
Destinataire: N. Savannah Sloan
Message reçu, aujourd'hui.

Si unis ... même dans vos crimes ! Et pourtant, sais-tu seulement tout ce qu'il te cache Sloan ?
-W

La belle Savannah suivit son amoureux jusqu’à la salle du séjour puis s’assit contre le foyer de la cheminée, qui devrait subir un très grand nettoyage le plus tôt possible pour ensuite rire à la blague que venait de lancer le brunet; il était vrai que dans ce genre de petit quartier bourgeois, tous les faits et gestes , qu’ils sont bons ou surtout déplacées, passaient aux oreilles de toute la communauté…enfin la blonde sourit alors que son amoureux lui désignait une nouvelle venue. Tu as bien raison, on mérite de manger quelque chose de divin pour un fois et puis je n’ai plus de contentant de plastique, c’est toujours utile d’en avoir… Dit-elle, se disant que s’ils se feraient donner un plat, ils le garderaient probablement jusqu’à la fin des temps, prétextant qu’ils l’auraient soit perdu, soit brisé…vilains. Va pour le gentil couple, si jamais c’est du chocolat, elle deviendra ma meilleure amie, ça je peux le jurer… Elle se lécha les babines en y repensant puis émit un visage de dégout lorsque son copain évoqua le mot poisson. Marché conclut! Elle patienta donc quelques secondes puis s’approcha de nouveau de la porte alors qu’on y toqua trois grands coups. La belle blonde chuchota à Jayson à toi l’honneur chéri! Puis replaça quelque peu son chemisier qu’elle avait déboutonnée pour la voisine précédente. Ce n’est qu’une fois la porte entre ouverte qu’elle jeta un coup d’œil à son téléphone qui émit un minuscule bruit de fond, le message la troubla quelque peu… aucun destinataire qu’elle ne connaissait… probablement une mauvaise blague de leur ancien copain de crimes…

TERMINÉ & VERROUILLÉ.