Ŀe prochaine qui me dit ce que je dois faire, je l'éclate!
Auteur
Message
Je te regarde
Manuela C. Torres
et je connais tous tes secrets ! -W
☇ ÂGE RÉEL : 34 ☇ DATE D'ANNIVERSAIRE : 14/01/1990 ☇ A EMMÉNAGÉ LE : 23/01/2013 ☇ MENSONGES : 986 ☇ JEU A LA : Troisième ☇ AVATAR : Georgina Haig
Sujet: Ŀe prochaine qui me dit ce que je dois faire, je l'éclate! Lun 25 Nov 2013 - 21:44
Manuela C. Torres
ft. Georgina Haig
prénoms : Manuela Camilla. noms : Torres âge : 26 ans né(e) : le 29.10.1987. à : inconnu. nationalité : américaine. sexualité : hétéro. civilité : célibataire métier ou études : Flic aux affaires non résolus situation financière : plus ou moins stable lieu de vie : Screwdriver
Caractère
On me voit. On me voit plus.
À un accent du sud ◌ À un très vilain caractère ◌ N'aime pas qu'on lui prenne la tête ◌ N'aime pas les petites villes ◌ Ne parle pas beaucoup de son passé ◌ À été diagnostiquer avec un trouble de la personnalité antisociale mineur ◌ Elle est comme l'eau, calme en apparence, mais dangereuse sous la surface ◌ Elle est méfiante de nature ◌ Elle a un bon instinct et va toujours au fond des choses ◌ Quand on la connait, elle est sympathique et blagueuses ◌ N'est pas très habille quand il s'agit de sympathiser hors du boulot ◌ C'est une femme de défis et il ne faut jamais lui en donner un. Elle le relèvera à coup sûr! ◌ Elle est assez bagarreuse et à une patience limité avec ceux qui l'emmerde trop. ◌ Elle a beaucoup de répondant ◌ Elle est assez téméraire ◌ Elle manque franchement d’inhibition par moment. ◌ Elle ne parle jamais de ces sentiments.
Choses à savoir
On a tous des trucs dont on évite de parler.
Ne connais pas sa vraie famille ayant été kidnapper bébé ◌ Elle n'a pas parlé avec ses "parents" depuis presque 10 ans ◌ À vécu une partie de son enfance au Mexique, puis à Lafayette en Louisiane ◌ À fait parti de la police de la Nouvelle Orléans ◌ À été muté après avoir frappé un supérieur ◌ Cherche ses parents biologiques depuis 5 ans ◌ Ses parents étaient des gens un peu spéciaux et déséquilibré mentalement ◌ À eux plusieurs mauvaise fréquentation dans son adolescence ◌ Fume la cigarette et bois du whisky ◌ Est malgré tout un bon flic.
let me go
pourquoi quand on dit "avec tout mon respect." à chaque fois j'entends "ta gueule" ?
« Comment ça muté? Et puis c’est dans quel trou paumé Lakeview? »
« Écoute Torres, c’est Lakeview ou tu dis au revoir à ta plaque. Merde, mais qu’est-ce qui t’es passé par la tête de frappé le sergent? »
Elle passe ses mains dans ses longs cheveux blonds clairs. Qu’est-ce qu’il lui avait pris? Bonne question, très bonne question même. Elle avait éclatée tout simplement. Il avait poussé trop loin et elle en avait eue marre de son air suffisant, de l’entendre hurler après elle, de son dénigrement constant. Elle en avait souffert presque toute sa vie, pas question qu’on lui fasse ressentir ce genre de chose un fois dans sa vie d’adulte. Elle n’allait pas laisser se pauvre naze la faire sentir comme une moins que rien. Personne n’aimait ce mec et il avait cherché tout le mon de depuis son transfert dans leur unité à la Nouvelle Orléans. Manuela avait seulement été la première à craquer et lui un coller une bonne en pleine figure devant tout le monde. En fais, ce n’était pas tellement une douleur physique, bon elle lui avait cassé le nez oui, mais, s’était surtout l’orgueil démesurer de cet homme qui avait été touché. Le chef l’avait donc renvoyez chez elle après l’avoir suspendu sans pour autant la relevé complètement de ses fonctions. La jeune femme était tout de même un très bon flic et s’était connu de tous. Malheureuse, son caractère était aussi une partie de sa réputation autant au sein de la police que des nombreux quartiers de la ville. On l’aimait ou on la détestait. Au final, elle s’en fichait pas mal d’avoir des ennuies avec quelques voyous ici et là. Manuela savait comment se faire respecter et avait la tête très dure.
« Je ne peux rien faire de mieux. J’ai du joué avec mes connexions et demander faveur pour t’avoir ce poste, gamine. Tu le prends, tu restes au calme et dans quelques temps demande un nouveau transfert. »
« Bien… merci Chef… »
Ce n’était pas ce qu’elle voulait, aller dans une autre ville, mais le choix n’était plus le sien. On avait voulu qu’elle donne sa plaque dans un premier temps. Heureusement, le Chef avait parlé en sa faveur et calmer le jeu avec un regard à son égard très paternel. Il avait toujours été gentil avec elle malgré son caractère de feu et surtout, il avait été le seul à savoir pour son diagnostique. Plusieurs lui aurait carrément refuse l’accès à la police, mais elle avait 12 ans quand les médecins avaient dis à ses parents qu’il était fort possible qu’elle souffre d’un trouble de la personnalité antisocial à cause de toutes ses frasques et de son manque flagrant de discernement face à l’autorité. Avec un traitement, de superbes petites pilules vertes, et plusieurs thérapie plus inutiles les unes que les autres, Manuela avait finis par montrer des signe comme quoi elle se trouvait parfaitement sous contrôle. Contrairement à ses parents, la jeune femme n’avait jamais montré de signe de violence ou de désire de faire du mal aux autres. Elle ne proférait jamais de menace alors que c’est ce son père aimait le plus faire avec leurs voisins. C’était presque ridicule comment il avait cette capacité d’entrer en conflit avec tout le monde, même les animaux du voisinage ! Elle ne serait même pas étonnée de se faire dire que quelqu’un avait fini par lui mettre une balle en pleine tête.
Toute son enfance, elle l’avait passée à entendre son père et sa mère se hurler dessus comme des damnés. Son père était originaire du Mexique et ils y avaient donc vécu pendant de très longue année. Manuela avait toujours fais tâche dans le décor. Elle qui était une petite fille à la peau pâle, aux long cheveux blonds brillants et aux yeux d’un bleu limpides… elle ne ressemblait en rien à ses parents. Les autres enfants le lui firent bien remarqués. La fillette ne fut jamais autre chose que l’étrangère pour ceux qui l’entourait. Elle ne devrait pas être là, elle n’avait rien à faire avec ce peuple. Elle n’était pas un d’entre eux. Ce rejet constant créa une colère qu’elle refoula encore et encore. Manuela ne comprenait pas ce qui clochait chez elle. Pourquoi elle était si différente des autres enfants. Elle connaissait aussi bien qu’eux la culture et la langue, alors pourquoi l’exclure? Après quelques années, elle finit tout simplement par abandonner l’idée d’avoir des amis un jour. De toute manière, ses parents choisirent se moment pour retourner aux États-Unis, à Lafayette en Louisiane, ville natal de sa mère.
Là-bas, elle s’était sentie plus accepté. Les gens étaient de diverses nationalités et parlaient diverses langues. Malheureusement, toutes les années d’isolement dans son ancienne ville ne l’aida pas beaucoup à se faire des amis. Le peu qu’elle se fit n’était pas vraiment de bonne personne. Ajouter avec ça les nombreuses baffes qu’elle pouvait se prendre autant de son père que de sa mère, Manuela avait du mal de plus en plus avec toute sorte d’autorité. Maltraité à la maison, rejetée par beaucoup, il ne faut pas être vraiment brillant pour savoir que ce genre de choses cause généralement des troubles. Après près de un an et demi à agir de manière excessive, ses parents l’envoyèrent chez un psychologue qui lui diagnostiqua un trouble de la personnalité antisocial mineur. À cette même époque, ses parents décidèrent de se séparer d’un commun accord et son père alla vivre ailleurs. Étrangement, Manuela et sa mère se mirent à très bien s’entendre presque aussitôt malgré les quelques sauts d’humeurs toujours bien présent de sa mère. Elle voyait son père le week-end, lui par contre n’avait pas vraiment changé et il lui arriva de revenir à la maison avec quelques bleus et des bosses. Comme toujours quand elle se trouvait avec lui.
Puis, il y avait eu le moment qui avait totalement brisé sa relation avec ses parents. Elle venait d’intégré l’académie de police à la Nouvelle Orléans et profita d’un long congé pour rendre visite à sa mère. Ses parents se disputaient comme jamais elle ne les avaient vu au part avant. Dans la conversation, son nom fut mentionné avant qu’elle ne puisse se retirer. Elle apprit que non seulement elle avait été adopté, même si aucun ne lui avait mentionné elle s’en était douté, mais qu’il l’avait kidnappé dans un hôpital dans lequel son père travaillait autre fois. Toute sa vie avait été un simple mensonge. Ses vrais parents l’avaient peut-être cherché désespérément pendant toutes ses années alors qu’elle avait toujours pensé ne pas être voulue d’eux. Elle quitta le domicile familial et n’y remit jamais plus les pieds comme elle ne redonnait plus jamais de nouvelle à ses parents. Elle avait environs 18 ans.
Très secoué, elle se lança tête baissé dans sa formation policière se coupant un peu de tout le monde. Elle ne voulait pas que qui que se soit voit à qu’elle point elle était blessé, brisé même par son passé. La jeune femme avait tout enduré venant d’eux parce qu’ils étaient ses parents, ils l’avaient élevés quand ceux qui l’avait mise au monde n’avait pas voulu. Mais tout ça n’était que pure mensonge, sa vie entière reposait sur des mensonges. Elle se demandait qu’elle nom sa vraie mère lui avait donné, qui ils étaient ou s’ils pensaient encore un peu à elle malgré les années écoulés. L’académie s’acheva et elle se retrouva bien vite en uniforme dans les rues. Manuela n’était pas de celle qu’on voulait de mauvais poile. Quand elle détestait quelqu’un elle ne se gênait pas pour lui dire carrément en pleine figure ou parfois de manière plus détourné. Son partenaire de l’époque était un des seuls à savoir comment la manier pour qu’elle ne cause pas de troisième guerre mondiale avec certains citoyens. En faite, l’autre policier trouvait ça presque amusant. C’est un peu dans la même époque qu’elle rencontre Alistair, un ambulancier avec qui elle se lia d’amitié, puis d’amour. Alistair la poussa à retrouver ses parents en lui disant que pour la première fois de sa vie elle avait la chance de savoir qui elle était vraiment. Durant les cinq dernières années, elle tenta de les retrouver sans grand succès. Elle savait simplement une date approximatif pour sa naissance et qu’elle avait été enlevé dans un hôpital… Jamais elle ne cru voir autant de cas d’enlèvement de nouveaux nés. C’était presque tragique et aussi un peu décourageant.
Manuela fut en relation avec Alistair pendant près de quatre ans. Il voulait l’épouser et avoir une famille… mais elle n’était pas prête pour ce genre d’engagement. Elle voulait continuée dans la voie qu’ils avaient empruntée. Ils commencèrent à se disputer de plus en plus jusqu’au jour ou la jeune femme rentra pour trouver l’appartement vide des biens de son petit ami. Il était parti en ayant assez de son caractère et de son refus de vouloir avancé. C’est sans doute la raison principale qui la fit finalement mettre son poing au visage du sergent et causa son transfert.
Elle soupira alors qu’elle fermait son téléphone retournant à son bureau. Manuela s’était vue attribué aux dossiers non résolue. Pas besoin de dire que s’était bien loin de lui plaire, mais elle n’avait pas trop le choix pour faire profile bas et se donner une chance de pouvoir partir le plus vite possible. Après la petite histoire, Alistair avait tenté de rentré en contact avec elle, mais la jeune femme avait tout simplement ignoré ses appelles. Après tout, il était parti de son plein gré pourquoi elle devrait répondre? Il lui avait fait beaucoup de mal. Cet homme avait été le seul à l’aimé et être honnête avec lui. Manuela avait toujours tenté de lui rendre, mais il fallait croire qu’elle n’était pas assez pour lui.
Une boîte poussiéreuse tomba sur son bureau. Higgins était le détective avec qui elle faisait affaire depuis son arrivé. Il n’était pas vraiment son partenaire comme il bossait ailleurs de temps en temps, mais il était celui qui semblait ne pas avoir du mal à accepter la possibilité de se prendre une baffe de sa part. Pas besoin de dire que son arriver avait pas plu à tous et que sa réputation l’avait suivit. Pire qu’un magasin people ce poste. La jeune femme blonde leva les yeux vers l’homme qui lui souriait aimablement.
« Voici une affaire pour toi Torres. Un nouveau né a été enlevé à l’hôpital de Lakeview. Personne à toucher au dossier depuis sa fermeture il y a presque 20 ans, mais on nous a demandé d’y jeter un œil à nouveau. »
« Un nouveau né? On a plus d’info? »
« C’était il y a 26 ans et une petite fille. Pour le reste, va falloir glander les infos. Bonne chance petite. »
Elle secoua la tête en silence les yeux rivés sur le dossier. Qui avait bien pu vouloir rouvrir un tel dossier après autant d’année? C’était presque ironique non quand on y pense. Est-ce possible qu’on cherchait à se qu’il tombe entre ses mains… qui sait. Elle devra à partir de maintenant fouillé pour en avoir le cœur net.
Et toi alors ?
pseudo/prénom : KimCassâge : 23 ans. fille ou garçon ? femme! Pays : Québec comment tu nous as trouvé ? par les grand manitouuu! tu penses quoi de notre petit coin tranquille ? c'est ça qui t'a poussé à nous rejoindre ? je vous aime trop! tu es plutôt flood, jeux ou cb ? toutes ces réponses! sinon tu aimes des séries tv en particulier ? Arrow, Bones, Castle, Fringe, House, Lost Girl, Flashpoint, Once Upon a time, Orange is the new black et bien d'autres encore... et tu as des chouchous parmi les célébrités ? Un véritable pactole! sais-tu au moins jusqu'à combien de largeur tu as le droit lorsque tu postes une fiche ou un rp avec un codage particulier ? c'est combien ?okay par Juju.tu seras présent combien de temps par semaine ? 4 à 5 jours semaine on n'a pas déjà vu ta tête blonde quelque part à Lakeview ? si oui... vous vous en souviendrez mouaaa! tu as pris un être cher de l'un de nos habitants ou tu te la joues solitaire ? inventé. un dernier mot pendant que tu tiens le micro ? je vous mors les fesses à tous!