Je te regarde Lizbeth A. Blackwood et je connais tous tes secrets ! -W ☇ ÂGE RÉEL : 30 ☇ DATE D'ANNIVERSAIRE : 19/02/1994 ☇ A EMMÉNAGÉ LE : 12/05/2013 ☇ MENSONGES : 2854 ☇ JEU A LA : mixte ☇ AVATAR : Eva Green | Sujet: Lonely Boy Ven 14 Mar 2014 - 20:53 | |
| Oh le salaud ! Il m’avait fait faux bond. J’étais peut-être qu’une inconnue, mais j’étais de mauvais poil qu’on m’oublie ainsi. J’étais qu’une autre femme dans sa vie ; on ne m’oubliait pas ! Je m’étais levée ce matin avec cette promesse de lui faire la guerre jusqu’à temps qu’il m’ouvre la porte. Mes hormones de femme enceinte guidaient mes choix en ce moment. Pourtant, il avait dit qu’il me donnerait des nouvelles pour prendre un café. J’étais au courant qu’à notre première rencontre, monsieur avait été déboussolée par une soi-disant photo de sa fille. Pfff, il n’avait qu’à bien agir! Allez, Lizbeth, calmes-toi. Il avait une raison beaucoup plus profonde du pourquoi Daryl avait eu un choc. Sa fille, il ne l’avait jamais vu. Je devais me calmer. Mon surplus d’œstrogène devait se calmer, mais je le lui laisserai pas la chance de se faire oublier ainsi. Il avait déjà pris la fuite la première fois, il n’en sortira pas une deuxième fois. Je l’avais à l’œil ! Je lui avais dit, mais il semblait oublier que j’étais une femme assez tenace qui finissait par obtenir la plupart du temps ce que je voulais. Le pouvoir, c’était l’argent. Je l’avais apprise, mais il y avait aussi le physique. Pourtant bien que j’aimais profondément la petite chose dans mon ventre, j’avais l’allure d’une baleine échouée. Le physique ne comptait plus dans les données pour obtenir ce que je voulais ; je devais compter sur ce que je dégageais naturellement pour réussir. Daryl était un objectif, mais ce salaud m’avait menti. Je devais lui rendre une petite visite à son domicile.
Dès que Linus était parti, je m’étais habillée en vitesse avec mes nouveaux vêtements de maternité. Mon ventre prenait de la place maintenant. J’évitais de briser mes vêtements hors de prix. J’avais fait l’acquisition de nouveaux vêtements donc. J’appelai Billy, mon chauffeur, pour qu’il m’aide à mettre mon plan à exécution. J’avais besoin de faire quelques détours par le centre-ville où je prenais des munitions pour m’inviter chez l’homme effroyable qu’était ce cher ex-motard. Pourtant, j’étais aussi tenace qu’il pourrait le croire. L’idée était simple, je lui ramènerais un déjeuner avec du café pour qu’il me laisse lui parler. Je prenais peut-être ce dernier par les sentiments, mais je connaissais les priorités dans la vie. Le sexe, la bouffe et les jouets ! Vous voyez, j’étais excellente dans les descriptions. Enfin, Billy vint me récupérer avec la limousine. Il était impossible que je passe inaperçu dans cette minuscule ville. Je me déplaçais toujours pratiquement accompagner en limousine. J’étais protégée bien que ce fameux W s’amusait à m’attaquer. Qu’il continue, je ne m’arrêtais plus à ses âneries. Je ne cachais rien à mon mari, nous nous étions promis bien des choses. Je pris une cargaison de nourriture pour remplir le ventre d’un homme et d’une femme avec du café. Il était tout de même assez tôt, je pourrais bien attendre, mais… nous avions convenu de prendre un café. Enfin, je me vengeais un peu qu’il ne m’ait pas appelé ou envoyé un message.
Billy me reconduit chez Daryl. Je lui donnais l’ordre de ne pas venir me chercher ; il était libre pour la journée. Linus viendra me chercher que lorsque je serai prête à quitter Daryl. Eh ouais, j’étais prête pour la guerre. Je ne lâcherais certainement pas mon bout du bâton. Je regardais la demeure de ce cher Daryl. Étais-je vraiment prête à attaquer la bête par les cornes ? Je ne pouvais reculer maintenant. Je pris les sacs remplis de nourriture les déposant à nouveau à mes côtés pour frapper en insistant à la porte. Aucune réponse. Je savais pourtant qu’il était là. Il ne bougeait pas de chez lui. Il tentait de se cacher. LE SALAUD ! « Daryl… ouvres-moi, la porte ! Je vais la faire défoncer ! ouvres-moi cette saleté de porte ! » dis-je furieuse. Il avait promis qu’on irait boire un café ; il ne pouvait se cacher. Cet homme allait avoir à faire à moi. Peut-être m’ennuyais-je un peu trop dans cette ville pour m’en prendre à cet homme pas très innocent ? Après tout ne devais-je pas laisser les méchants dans leur caverne ? Eh bien, non… celui-là m’avait menti !
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