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La boîte à secrets

Les ragots de Lakeview ◗ voir le sujet

De ANONYMOUS
Je me demande souvent la logique de suivent les gens. Ils le savent pourtant qu'il est dangereux ce W alors pourquoi le provoquer avec leur réunion ?! C'est ma voisine qui m'en a parlé, elle a prévu d'y aller... Je pense vraiment que c'est une mauvaise idée. W risque de venir y faire un tour, c'est sûr !
De ANONYMOUS
A ce qu'on dit par chez moi, le jeune Foster aurait plusieurs petites amies. J'sais pas si c'est vrai mais c'est moche pour ces filles. Malgré tout, bien joué mon gars !
De JANE J. WELLINGTON
La petite nouvelle, Rebecca Hobbs, c'est un foutu spectacle à elle seule, bordel qu'elle me fait rire.
De MAXIMUS GOOD
D'abord il gifle les gamines, maintenant il hurle tout seul. Pas qu'entendre Tyee le sauvage brailler me dérange, mais ces espèces de grognements en russe, en finnois, je ne sais pas, ça commence à me les briser. S'il a le mal du pays qu'il rentre chez lui, ça fichera la paix à tout un quartier.
De TYEE H. L. DAENDELS
Ce que... C'est absurde ! Lizbeth est une amie, rien de plus, et je... Je voulais la voir. La nuit, en pleine rue. Il n'y a pas besoin d'un lieu pour trouver les gens à qui l'on tient.
De JOSH WILLIAMS
Si vous saviez tout ce que Anton entend et voit chez les Spencer. Le petit Chatwood il s'entend trop bien avec le nouveau locataire, ça l'air et il a vu des trucs dégueulasse, mais il a pas voulu m'en dire plus. Et c'est sans parler des engueulades entre la fille Spencer et ce sournois de Chatwood. Anton a du les séparer, mais il m'a dit qu'elle a une solide droite la fille de l’éleveur.
De MEREDITH LANDER
Si vous voulez mon avis, ils n'auraient pas du expédier la petite Chatwood chez les Spencer. Ils ont plus de 70 ans, c'est pas possible de laisser une telle furie chez de si braves gens. Rose voit tous les jours comment ils se font rabrouer par le fille.
De JOYCE RIPPER
Vous savez, celle qui se balade en limousine ? Ben je l'ai vu main dans la main avec le p'tit Chatwood. C'est quand même horrible, c'est la femme de l'autre Chatwood.
De HEATHER SPENCER
Quoi ? Comment ça je suis sexy en dessous érotique ? Non, j'ai rien fait de sexuel à Lizbeth... à part en parler...
De LINUS CHATWOOD
Quoi ? Lady en dessous affriolant ?

intrigue n°3



 
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 Lectures. {Dalia}

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Tyee

Tyee H. L. Daendels


Je te regarde
Tyee H. L. Daendels
et je connais tous tes secrets ! -W
☇ ÂGE RÉEL : 40
☇ DATE D'ANNIVERSAIRE : 20/12/1983
☇ A EMMÉNAGÉ LE : 23/06/2013
☇ MENSONGES : 223
☇ JEU A LA : personne que vous voulez. ♪
☇ AVATAR : Arnaud Laville.




MessageSujet: Lectures. {Dalia} Lectures. {Dalia} EmptyJeu 19 Déc 2013 - 14:10


Lectures.
Regardez. Veux-tu regarder le ciel, porc ! Bon, ça suffit. ━ Samuel Beckett.

« Qu'est-ce qu'il y a de si extraordinaire ? En tant que ciel ? Il est pâle et lumineux, comme n'importe quel ciel à cette heure de la journée. Dans ces latitudes. Quand il fait beau. Il y a une heure environ après nous avoir versé depuis mettons dix heures du matin sans faiblir des torrents de lumière rouge et blanche, il s'est mis à perdre de son éclat, à pâlir, à pâlir, toujours un peu plus, un peu plus, jusqu'à ce que vlan ! fini ! il ne bouge plus ! Mais - mais, derrière ce voile de douceur et de calme la nuit galope et viendra se jeter sur nous pfft ! comme ça - au moment où nous nous y attendrons le moins. C'est comme ça que ça se passe sur cette putain de terre. »

Ça n'a pas de sens. Lui-même le savait.
Le livre clos sur les genoux. Assez vu. On lui avait demandé de lire, s'était exécuté. Un cadeau d'il y a deux ans, un élève féru de ce genre de littérature. Grand bien lui fasse. Il n'avait pas baissé dans son estime, on ne juge pas celui qui lit à ce qu'il lit. Il lui avait fait de la peine. De la peine de pouvoir aimer cela. Contemporain dirons les gens lettrés, les artistes accomplis, anoblis. Profond, ceux qui y verront un sens caché. Mais il n'y avait rien à comprendre. Lui-même l'avait écrit pour l'écrire. Les sortir de sa tête, déposer sur papier ces traces de questions temporelles rongeuses d'existence. Rien à prouver, rien à tirer d'eux. Ils étaient quittes. Le renseignement passait avant tout par l'auteur, pas par les mots. Et il n'y avait rien à comprendre. Il avait écrit. Les avait pensé, avait accouché dans la douleur, en était sorti comblé par la plénitude, les avait offert au monde qui s'était jeté sur eux comme des chiens affamés se jetteraient sur la moindre viande à portée.
Il n'y avait rien à comprendre, ou alors n'était-t-il pas suffisamment cultivé, intelligent pour comprendre ce qu'il y avait à en tirer. Une énigme qu'il ne voulait pas résoudre puisqu'il restait intimement convaincu que chercher quoi que ce soit en ce Champ de Mars était vain. Pas de ruines, plus de cadavres. De la cendre, des charognes. Rien de beau. Rien de sensé. Pas à son goût. Au goût de personne, osait-il penser. Peut-être à tort, il n'avait pas la prétention de se proclamer illustre dans ses raisonnements. Pas la curiosité nécessaire pour fouiller l'horrible pour y trouver une explication. Ce qui était mauvais était mauvais. Que la réalité soit nuancée ou non, il y avait des choses unanimement belles, d'autres unanimement laides. L'horreur en faisait partie.
En attendant Godot. Un livre que tout un chacun se plairait à aduler, il était venu au monde de la chair et de la main d'un prix Nobel. Un livre qu'il avait lu en anglais, avait tenté de lire en français. Sans succès. Il le lirait en russe. Lui qui adorait l'inexplicable, il adorerait.

Transi. Chancelle.
Il ne se savait pas aussi fragile.
Levé, stable. Équilibre rudimentaire mais suffisant. Le tableau des départs. Moscou, dans deux heures. Moscou. Il passerait les fêtes là-bas. Il n'y aurait pas de fête. S'il avait de la chance, il serait seul. Il resterait à le voir, c'est tout. C'est tout. Un soupir, les yeux clos. La paume contre la joue, le front. Brûlant. Les chauffages et les températures extérieures, changements brutaux, cela faisait trois ans qu'il supportait ce genre de désagrément. Une habitude. Rien d'insoutenable. D'infaisable. Pitoyable tentative pour se rendre au fait qu'il s'agissait simplement de prendre l'avion. Certes pour la Russie. Sans doute sans passer par la taïga. Et pour le voir.
Ça ira. Tout va bien.
Volte face, et rebond. Quand il ouvrit les yeux, il y avait quelqu'un devant lui. Quelqu'un qu'il avait tout bonnement poussé au sol.

- ... Je...

Regarde, imbécile.
Les bagages brusquées, mélangées aux siennes. Lâche le livre, s'agenouille. Tête basse. Penaud et ailleurs. Il doutait de pouvoir reprendre le livre dans ses mains après l'avoir abandonné.

- Je suis navré... P-pardon, tout... Tout va bien ?
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Dalia Lisi


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Dalia Lisi
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MessageSujet: Re: Lectures. {Dalia} Lectures. {Dalia} EmptyVen 7 Mar 2014 - 8:34

Depuis qu’elle était revenue à Lakeview, Dalia avait le mail du pays. A dire vrai, depuis quelques semaines elle se sentait nostalgique et repensait à sa « vie d’avant. » Son père, ses amis de Colombus occupait ses esprits. Bien entendu, elle n’en avait pas parlé à sa mère. Elle était revenue depuis peu, elle n’allait pas lui dire qu’elle songé déjà à quitter la ville. Non au lieu de cela, la jeune femme prit son mal en patience et décida de laisser une seconde chance à Lakeview. Après tout, la première fois, son intégration s’était plutôt bien réussie. Même si elle avait dû partir précipitamment par amour pour Sébastian. Mais ce dernier n’était plus là. Il fallait donc qu’elle se trouve une raison et qu’elle développe d’avantage sa vie sociale.
C’est pourquoi elle avait décidé de reprendre contact avec ses anciennes amies. En effet, bien qu’elles ne se parlaient plus tous les jours comme cela pouvait être le cas, quand elles étaient voisines, elle avait un contact régulier. Aussi, Dalia fut contente et soulagée quand son amie Sarah accepta sa proposition de venir passer quelques jour chez elle à l’appartement. La mère de Dalia avait bien entendu donné son accord et trouvait cette initiative une bonne idée pour distraire sa fille. Seul petit hic, Dalia devrait aller récupérer la jeune femme à l’aéroport d’Atlanta. L’adolescente ne rechigna pas le moins du monde car cela serait pour elle l’occasion de tester son permis tout juste validé.
Ne voulant pas manquer l’arrivée de Sarah, Dalia prévu large en termes de temps. Aussi, quand elle arriva à l’aéroport elle avait plus d’une heure d’avance avant l’atterrissage de l’avion. Quand elle pénétra dans les locaux, elle fut assez impressionnée. En effet, elle n’avait pas l’habitude de prendre ce type de transport. Par ailleurs, elle n’était pas agoraphobe, mais n’était pas vraiment à l’aise avec la foule. Elle se dirigea donc vers un pôle d’accueil afin d’avoir de plus amples informations. Mais alors qu’elle avançait regardant tout au tour d’elle, elle ne vit pas l’homme en face d’elle arrivé, qui la percuta de pleins fouets. Le choc fut elle, qu’elle tomba à terre. Heureusement, il y eu plus de peur que de mal.
Ainsi, l’homme ne savait plus où se mettre. Il s’excusa avant de lui demander si tout allait bien. La jeune fille prit cinq minutes pour reprendre ses esprits avant de lui répondre :
Ce n’est pas de votre faute, je ne vous ai pas vu non plus. Pouvez vous m’aider à me relevez s’il vous plait. Demanda t’elle en tendant sa main.
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Tyee

Tyee H. L. Daendels


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Tyee H. L. Daendels
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MessageSujet: Re: Lectures. {Dalia} Lectures. {Dalia} EmptyMar 11 Mar 2014 - 21:10


Lectures.
Mais riez riez de moi
Hommes de partout surtout gens d'ici
Car il y a tant de choses que je n'ose vous dire
Tant de choses que vous ne me laisseriez pas dire
Ayez pitié de moi. ━ Guillaume Apollinaire.

Il la connaissait. À peine.
Il n'oubliait pas les faciès. Jamais. Il oubliait encore moins les mains, et n'avait pas souvenir d'en avoir tenu de si petites. Pas avec un tel visage, en tous cas. Des mains entretenues, légèrement dorées et à peine sèches, un constat qu'il se permettait à force de polir les bois les plus récalcitrants. La peau faisait partie des fruits de la terre.Il était à genoux et elle faisait sa taille une fois debout. Peut-être à peine plus grande, il en profitait. S'arracha un maigre sourire, le perdit presque aussitôt. S'il la connaissait il connaissait aussi son prénom, et n'avait aucun souvenir de celui dont il s'agissait. Il avait bonne mémoire pourtant, n'en démordrait pas. Il allait retrouver cela. Peut-être un peu plus tard.
Elle était redressée, lui s’amourachait de sa valise et de son bagage à main. Un vieux bagage à main. Il s'était promis d'en changer, en avait acheté un autre, avait repris par habitude le même sac usé au moment de préparer ses affaires. Question d'instinct, parait-il, ce sac avait voyagé au moins autant que lui. Plus. Il avait appartenu à Lieb, et Lieb avait traversé les contrées de glace avec ce sac. Il était précieux. Sans doute plus précieux que tout. C'était ce dont il réussit à se convaincre davantage lorsqu'il le serra contre lui, donna l'impulsion nécessaire à son propre redressement. Les médicaments, la fatigue, le poids du corps trop lourd, sans doute. Il la regardait de haut parce qu'il n'avait pas d'autre choix, baissait les yeux sur ses chaussures, avait lâché sa main depuis bien longtemps. Les hommes d'ici n'aiment pas le contact, et les femmes se font beaucoup d'idées et il n'était pas question de pudeur quant à les garder pour soi. C'était une autre vie.

- ... Toutes mes excuses, je... je suis dé-désolé, je...

Je ne sais pas ce que je dois faire, j'ai peur des inconnus.
Garder le sac contre sa poitrine comme le plus quintessencié des trésors. Une peau de ce qu'il n'aurait pas reconnu si Lieb ne lui avait pas dit qu'il s'agissait de faon. Sa seule possession en une telle peau. Il aurait aimé pouvoir se confondre avec elle pour ne faire qu'un, fusion des chairs qu'il n'espérait même pas tant cela semblait imbécile. Ses bredouillements ne lui conférait aucune prestance, il s'en voulut, tenta de trouver quelque chose à dire. N'importe quoi.

- Vous... Attendez votre f-famille ? C'est... Je vais voir la m-mienne et vous... Vous n'avez p-pas de bagages, alors...

C'était mauvais, et quelque chose n'allait pas. Comme un démon sur son épaule, un instinct assez peu sûr de lui et aussi perturbé qu'un instinct pouvait l'être. Un temps pour déglutir, sentir la pomme mâle dans sa gorge glisser douloureusement. Resserrer l'étreinte contre la peau et ne pas la regarder dans les yeux. Ils n'avaient rien à se dire et il devait parler. Parce que c'était ainsi que l'on faisait, parce qu'elle ne partait pas, qu'elle attendait, qu'il devait y avoir une suite. Il improvisa.

- ... Je s-s-suis confus, navré, vraiment navré... Je... Je n'ai pas v-v-vu les miens depuis... longtemps, et... Sept ans. En vérité. J'appréhende. Beaucoup. C'est rid-ridicule. Pardon.

Oui, pardon. Il n'aurait pas dû, et se sentait de trop. Aurait voulu s'esquiver comme il savait si bien le faire. Pas avant de se souvenir d'elle. Pas avant de connaître son nom, de s'en souvenir. De pouvoir la nommer. C'était gratifiant, de pouvoir nommer les choses. Cela n'apportait rien en soi, mais c'était une sécurité supplémentaire. Ce n'était pas l'inconnu, ce n'était pas rien. Il y avait un coupable à désigner, on pouvait le faire, et même lorsqu'on ne le pouvait pas il y avait des mots pour cela. Des langues pratiques, qui servent et asservissent. Voilà. Voilà ce qui était si douloureux. Il avait oublié de ramasser le livre.
le livre.

- ... C'est que... J'aimerai voir m-ma grand-mère, et je... ne suis pas certain d-d-de le pouvoir. C'est son sac, elle me l'a prêté et... Je devrais le lui r-rendre. Elle me manque. C'est un l-long voyage, et j'ai... Je ne s-sais pas vraiment ce q-q-qui m'attend, vous... Vous n'auriez pas p-peur, vous... ? C'est...

Perturbant.
Il savait à qui il avait à faire. Ne l'avait vu qu'une ou deux fois, à peine croisée au détour d'un couloir, mais il la savait dans une de ses classes lycéennes. Fraîchement débarquée d'il ne savait trop où, mais il avait entendu dire qu'elle avait déjà habité Lakeview par le passé et qu'elle était partie, quelle qu'en soit la raison exacte. Elle ne le regardait pas. Un nom de fleur. Le nom d'une fleur, il en était convaincu, parce qu'il s'était fait la réflexion lorsque l'administration lui avait confié ses relevés de notes. Une fleur qu'il n'aimait pas. Comme le livre. Dalia. Dalia.
C'est cela.

- Je... J-je vous connais. Dalia Lisi. Vous étiez à Lakeview... et v-v-vous êtes revenue. Je serai votre professeur d'Histoire quand... quand je s-s-serai rentré. Tyee Daendels. C'est... inuit. Autant que possible, sang neuf. Inuit par le sol, pas par les racines. Sa plus grosse erreur, sans doute. Et la s-signification n'est p-p-pas aussi jolie que la vôtre. Vous portez le n-nom d'une fleur.

Le livre.
Il jeta un oeil larmoyant derrière son épaule, le retrouva. Du russe, rien que pour son bon plaisir. Attaqua sa lèvre inférieure à coup de dent pour empêcher la larme de rouler. Il n'avait pas que cela à faire. Il ne pouvait pas le toucher. Il n'avait pas eu idée. Il n'avait pas pu prédire combien cela lui aurait été pénible, en pâtissait largement. Il avait rejoint le ban des replis de sentiments, attendait que les mots le consument, presque trop lentement.

- ... Je suis désolé... P-Pourriez-vous m'aider à attraper... ça... ? C'est... J'évite de... De me baisser, puisque je suis trop grand et trop faible pour avoir pleinement possession de mon corps. Avec ma t-taille, c'est... Difficile...

Gardez-le. Gardez-le. Moi je n'en veux pas. Je n'en veux plus.
Il me fait mal.
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MessageSujet: Re: Lectures. {Dalia} Lectures. {Dalia} EmptyVen 2 Mai 2014 - 9:32

« Bonjour,
Nous avons constaté que le sujet suivant n'a pas reçu de réponse depuis un moment, nous vous laissons jusqu'au20 mai sinon, le sujet sera verrouillé.
Merci de votre compréhension. »

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MessageSujet: Re: Lectures. {Dalia} Lectures. {Dalia} Empty

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