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ϟ Formule choisie: [] j'ai voté que pour la première ligne; [] je suis un fou j'ai fait les deux lignes
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vie

Voilà que Lullaby McIntyre se mettait à se moquer de sa collègue. Bien-sûr, elle agissait gentiment, elle ne critiquait presque jamais les attitudes des autres. La brunette avait vu Aslinn O'Donnell sursauter dès ses premiers mots avancés, la rousse restait souvent noyée dans un millier de pensées alors elle demeurait souvent ailleurs ce qui pouvait prêter à rire ou à agacer autrui. Le fait que Lulla ne s'annonçait pas quand elle allait prendre la parole n'aidait As' à se montrer concentrée, elle fut surprise de cette interruption. L'irlandaise rougit légèrement.

Tu m'as fait peur ! Sourire de mise, ravie que tu ailles bien.

Les jeunes femmes évoquaient leur job respectif : le même en somme, stripteaseuse. Elles venaient de terminer leur service, Lullaby après Aslinn. Cette dernière était fatiguée mais elle ne préféra pas rebondir sur son état. Aussi, elle restait un peu à cran : entre le club qu'elle voulait quitter, les derniers événements traumatisants vécus... la danseuse ne savait plus où donner de la tête. De plus, son mari lui piquait une crise parce qu'elle voyait un ancien ami un peu trop souvent à son goût : il s'agissait d'Aaron Redfield.

Tu penses y arriver un jour ? Tu n'as pas l'air aussi paumée que les autres... enfin je veux dire.... tu sembles vraiment lucide et en pleine possession de tes moyens, donc tu pourrais y arriver.

Ensuite, la brunette proposa à son amie d'aller en aider une autre. Lullaby possédait un contact, une camarade apparemment mal en point moralement. McIntyre voulait la sortir et lui remonter le moral. As' serait présente pour soutenir l'inconnue en l'amenant à penser à autre chose. Par contre, elle observa avec étonnement la silhouette d'une personne qu'elle connaissait un peu : Rachel Andersen. Lullaby expliqua la situation de sa pote, elle la désigna même. Pas possible, Rachel représentait cette fameuse âme à sauver. O'Donnell commença à pâlir involontairement. Elles rejoignirent Andersen. La femme au caractère bien trempé détenait les pupilles brillantes et un peu dilatées, elle devait avoir sifflé quelques verres. Elle empestait le whisky, la boisson alcoolisée préférée d'Aslinn. La brune détenait un air carrément à l'ouest. Son expression n'affichait aucune lueur, elle était éteinte, presque indifférente. Indifférente était vite dit car elle n'appréciait pas la vue de la rousse. On le sentait, son commentaire venait souligner ce malaise. Aslinn se sentait de moins en moins bien. Voir Rachel lui rappelait également des souvenirs. Elle les avait effacé, plutôt rangé dans un coin de sa mémoire. Comme dans un flash supersonique, elle aperçut des tirs, une banque, une personne âgée gisant sur le sol, des mains ensanglantées les siennes, le visage apeuré de Rachel... .

Salut, forces-toi pas pour le sourire. Elle ne répondit pas à la question de Rach' car elle ne souhaitait pas aborder ce point. La scène lui revint comme une claque en pleine figure pouvait surgir de manière violente : le choc demeurait le terme adéquat pour sublimer cette expérience. Aslinn choisit également de ne pas interroger son interlocutrice, cette action serait malpolie. L'irlandaise savait pourquoi elle se situait devant cet endroit : pour soutenir cette femme, Rachel Andersen. Sûrement pas pour s'apitoyer sur son sort et celui de la brune. O'Donnell se tourna vers Lullaby. Oui on se connaît un peu. Passer les présentations, cela va nous permettre de nous amuser.

Esti que ça rock ! XD

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E. Calvin Whitehorse

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[17:51:39] Lizbeth A. Blackwood a rejoint le chat le Dim 5 Jan 2014 - 17:51
[17:51:45] Lizbeth A. Blackwood s'est déconnecté le Dim 5 Jan 2014 - 17:51
[17:51:49] Matthias P. Cleveland : ah oui bon, c'est qu'elle a pas été déplacée encore
[17:51:52] Matthias P. Cleveland : AHHHH UNE DÉMONDE
[17:51:55] Matthias P. Cleveland : ouf elle est partie

On mélange tout les ingrédients de la sauce et on verse sur les boulettes. On place au four a 325 degré (préchauffer le four avant) 40 min. Retourner les boulettes au moins 1 fois durant la cuisson ou les arroser avec la sauce pour une belle couleur.

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Apparemment Jane J. Wellington commençait doucement à reprendre goût à la vie. Cette dernière lui enleva l'être aimé. Comment survivre après cela ? Le lieutenant prouvait bien que cette entreprise ne venait pas d'elle-même. Il fallait affronter plusieurs étapes, des passages obligés pour enfin faire son deuil. La brunette avait mis des mois à se replonger dans le travail. Qu’avait-elle effectuait entre deux ? Détenait-elle du soutien ? Maya restait inquiète pour son interlocutrice. Elle la connaissait peu. Il s'agissait de l'amie de sa mère. Maya et Jane possédait presque une vingtaine d'années qui les séparaient. Mais, le dialogue n'était pas impossible. Standfield en avait vécu à son âge et elle connaissait bien le terme de « souffrance ». Elle galérait depuis le départ de son père. Il fallait tenir avec une génitrice droguée et immature. La jeune fille s'en sortait à sa manière. Elle n'empruntait pas toujours les bons chemins mais la volonté de s'en sortir demeurait présente et puissante. Elle pouvait au moins inculquer cela à son aînée. La blondinette ne taisait pas ses pensées, elle souhaitait éclairer son interlocutrice.

Et le boulot ? Tu ne penses pas que ton job t'enfonce plus ? C'est vrai quoi ! Tu rencontres des affaires portant sur des meurtres, des cinglés et j'en passe. C'est trop stressant ! Tu crois vraiment que cela va t'aider à aller mieux que de constater la misère autour de toi ? Je ne trouve pas l'élément joyeux dans ce bordel. Et qui t'a dit de reprendre le travail ? Tu ne penses pas que c'est trop tôt ? Maya imaginait la douleur de la brune. Franchement, elle s'en rajoutait pas mal avec ce boulot dur, oppressant et prenant. La femme avoua subir un accompagnement gênant, celui d'une boule au ventre qui l'empêchait de respirer. Elle n'avait absolument pas fait son deuil. La plaie restait vive et ouverte. Avait-elle reçu le soutien d'un professionnel ? Son cas était alarmant. Une tristesse se dessinait sur son visage. Jane n'était pas la même femme quand elle parlait de ce qui lui faisait mal, ce qui la touchait. Il était rare de la voir parler de ses sentiments. Maya n'avait jamais su que la belle avait eu une femme. Ce qui la choqua qualifiait la perte de cette dernière. La lycéenne compatissait au chagrin de son interlocutrice. En tout cas, Jane changea d'appartement : un progrès. Cela lui permettait de s'éloigner du souvenir de Leslee, d'arrêter de vivre dans le passé en côtoyant les affaires de sa femme. Wellington était déjà veuve à son jeune âge. Le destin lui jouait de sale tour. Tu es entourée j'espère, c'est le plus important. C'est le cas ? Maya ne rebondissait pas sur les derniers propos de Jane. Elle désirait juste s'assurer de la santé physique et mentale de JJ. Maya appréciait cette femme malgré qu'elles se voyaient peu. Elle n'était pas de la même génération. Or, la situation de Jane touchait Maya... pas besoin d'être proches pour se sentir concernée par la vie d'autrui.

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Matthias reçu le regard qui remerciait et qui avouait tout ce confort si chaleureux en caresse duveteuse. Sur son foi, qui n’éprouvait de foi que pour piètre moment. Et pour ses amis. Comme Haley, qu’il pouvait réellement compter en fidèle amitié. Il en était presque rassurant, de savoir une femme aussi forte et impressionnante de son côté de la rivière. Avant de devoir passer de l’autre côté. Ou point comme plusieurs d’autres qui s’étaient carrément noyé dedans. Il était heureux, et ça paraissait. 

Mais il fut embêté par ce discours qu’elle lui rétorqua, bien naturel, bien charmant. Il fit triste sourire alors qu’elle le complimenta : rare geste venant d’autrui. Il fronçait sourcil, presque comme le chien piteux qui, au bord des larmes, ne sait réagir à l’émouvante réjouissance de recevoir une main qui ne le battrait pas, mais qui le caresserait plutôt. Il ne fit qu’ajouter sans trop de confiance :

Haha! Ouais… Je sais pas… Je sais pas pourquoi j’ai dit ça. C’était stupide. 

NYAN C'EST MOI QUI PARLE 8D

u_u

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PRÉNOM ET NOM EN MAJ (Quartier de résidence) ◗ le ragot en question.

CHUCK 18
KYLE XY 17
NEW GIRL 11
THE TOMORROW PEOPLE 10
DRACULA 10
UNDER THE DOME 13
AWKWARD 11
NEWPORT BEACH 04
SUPERNATURAL 14
ANGEL 10
DOCTOR WHO 20
SKINS 03
SPIN CITY 09

SUNRISE 09
PINEAPPLE 26
SCREWDRIVER 65
RAVEN 116
GREENGRASS 157

Rafael A. Blake

SUNRISE 08
PINEAPPLE 26
SCREWDRIVER 65
RAVEN 116
GREENGRASS 161

lergerweb

SUNRISE 08
PINEAPPLE 26
SCREWDRIVER 65
RAVEN 116
GREENGRASS 161

© BOOGYLOU.

Meat my double personnality

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Abygaëlle suivit le serveur du regard qui avait sa démarche de prestance et de dérision. Comme si ce restaurant était au beau milieu des champs Élysées et non plus dans une prison hypocrite de tapisseries sournoises. Il arborait cet air pour fuir, sans doute, de cette réalité glaciale. Et se morfondre dans un rôle de garçon de café apathique. Il n'avait d'ailleurs rien rétorquer à sa question en prenant l'acquisition négative. La suissesse dévia alors son visage pour qu'il reprenne position d'habitude: à regarder droit devant elle. Et il y avait une jeune femme.

Abygaëlle ne cacha pas sa surprise. Depuis longtemps elle avait été de nœuds et angoisses dans son estomac. Depuis qu'elle avait reprit cœur du bibliothécaire, elle était de vitalité tous doutes évincés. Et, réaction qu'on lui eut attribué plus d'un an avant, elle sourit dans son étonnement à voir apparaître cette femme devant elle. Elle était charmante, belle, si put dire soignée et symétrique comme les femmes de magazines. Si bien qu'elle se demanda au tournant de songe si elle n'était pas à un tapis rouge. Tapis rouge ou dernier esplanade d'un photoshoot dans les bras d'un musclé en pourtour de dentelle. Une vulgarité de maquillage? Non... Simplement qu'Abygaëlle voyait rarement ce genre de couche sur le visage des gens, surtout pas dans un hôtel où plus rien ne valait la peine d'y donner force.

Sa compagne improviste se présenta. La bouclée sourit à attendre un accent d'Italie qui avait tout le charme des Rita. Un sourire franc, et joviale. Presque enfantin dans ce scénario sinistre. Alors la mangeuse de soupe lui serra la main en retour.

Enchantée. Moi c'est Abyga- appelez-moi Aby en fait. Vous parlez bien italien, n'est-ce pas? dit-elle de cette langue, avec ses accrocs et ses finesses de romanche rude en gueule.

Pourquoi ne pas dire son nom? Pour ce qu'on avait put en lire. On lui avait assez souvent craché au visage ou traité de cinglée pour ses actes précédents qui avaient figurés en grand cynisme dans la gazette du Faucheur distribuée à tous. Ne sachant pas que la femme en face d'elle était nouvelle, tout ce qu'elle pensait était à protéger son identité. Et à discuter italien. Car il faisait bon, parfois, de retrouver la parcelle d'un langue d'antan et de nostalgie.