Roméo venait de se lever  et garda son pyjama rose et marcha lentement en direction de la salle de bain et se lava le visage ainsi que se brosser les dents, il alla à la toilette, puis il sortit par la suite de la belle salle de bain et marcha dans le couloir de l’appartement des Wright, certain était encore couché, mais il savait que sa mère était déjà debout, alors il marcha vers la cuisine et la vit seul assit à la table, alors la jeune fille pensa lui faire une surprise et marcha lentement vers elle et vit qu’elle tenait des papiers, alors il remarqua qu’il était inscrit divorce, alors il se montra et dit. «Pourquoi il est écrit divorce sur le papier ?» Roméo regarda sa maman en silence.

Une découverte. Quand votre enfant tombe sur le mauvais papier.

Le pieds lourd, la volonté décroissante, Daphne se dirigea vers la cuisine. Tout le monde allait bientôt être levé et elle n'aurait alors plus aucune tranquillité. Elle mit le lait à chauffer et commença à préparer le petit-déjeuner des enfants tout en feuilletant des papiers qu'elle avait été cherché hier chez l'avocat qui s'occupait de son affaire. Personne ne savait encore ses intentions. Pas même Jefferson. Elle voulait d'abord voir, attendre encore, savoir si c'était vraiment la chose à faire. Elle aimait son mari mais la situation était devenue trop dure. Elle ne supportait plus de devoir tout faire tout seule comme ça, d'être délaissée par lui au même titre qu'il délaissait les enfants et surtout Gabriella. La différence de chacun, Daphne l'acceptait mais pas Jefferson.

Assise sur sa chaise habituelle, elle feuilletait les papiers du divorce lorsque des petits pas la firent sursauter. Elle rangea trop tard le tout. Roméo avait vu l'inscription et demandait déjà ce qu'il en était. Daphne ne l'avait pas entendu se lever mais à en juger par sa présence, elle était déjà passée par la salle de bain. Ça voulait sans doute dire que Gabriella ne mettrait sans doute pas longtemps non plus à se lever. La fin d'une matinée calme. « Pour rien ma chérie. Je regardais juste quelques trucs ... Rien d'important » Mais c'était mentir et elle avait toujours dit à Roméo que c'était mal. Pourtant, elle le faisait à l'instant. Elle voulait éviter le sujet. « Tu as bien dormis ? »

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Roméo venait de voir le papier et il ne se doutait pas que sa mère lui mentirait, mais la jeune fille resta devant sa maman en silence attendant la réponse de cette dernière. Cette réponse ne tarda pas, alors Roméo regarda sa maman adoptive, puis après quelque seconde, ce fut elle qui prit la parole. «Mais si tu les regardaient, cela ne nous concerne pas ? Tu ne comptes pas divorcer de papa ?» Roméo la regarda toujours en silence, puis après quelque instant, sa maman lui demanda s’il avait bien dormit, alors la petite reprit la parole. «Oui !» La petite s’assit sur une chaise, puis regarda sa maman en souriant. «Et toi ? tu as bien dormit avec papa ?» Roméo sourit. La petite regarda sa mère toujours en souriant, puis dit. «On fait quoi aujourd’hui ?»

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S'il y avait une chose que Daphne n'avait pas envie que Roméo découvre c'était bien ces papiers. Pas comme ça. Elle voulait le lui dire en personne mais pas comme ça. Trop tard pour faire marche arrière toutefois. Sa fille renchaîna avec une question sur le divorce. Perspicace. Mais elle n'eut pas à lui répondre tout de suite. La conversation continua sur sa nuit et sur son bien-être un sujet bien moins à risque que le divorce. Daphne n'avait aucune idée de la réaction que Roméo pourrait avoir. « C'est bien alors. » Et elle posa la question à laquelle Daphne se résolut à répondre honnêtement. « J'ai bien dormi oui. Et ton père, il n'est pas rentré encore. » En effet, Jeff avait passé la nuit dehors, allez savoir où ! Et cela sans même donner de nouvelles. Ca devenait une habitude mais ça angoissait toujours Daphne qui avait toujours cette impression qu'il s'éloignait et quand même temps, il pouvait lui arriver n'importe quoi sans qu'elle en sache quelque chose. « Aujourd'hui ... tu vas commencer par tes devoirs et après on verra, pourquoi pas aller manger un glace ? » Et oui, il ne fallait pas compter sur Daphne pour oublier les détails et surtout l'éducation de ses enfants. « Mais d'abord, viens t'asseoir. Tu as faim ? » La première partie de la phrase se ponctua d'un geste vers le siège à côté du sien, pour lui dire ce qu'elle voulait finalement lui dire, mieux valait qu'elle soit assise. Quand à la seconde partie, c'était là simplement son rôle de mère.

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La jeune fille se tenait juste à côté de sa mère et attendait d’avoir sa réponse à ses questions. La petite ne tarda pas à recevoir ses réponses, alors elle écouta attentivement sa mère quelque seconde et celle-ci dit qu’elle avait aussi bien dormit, mais que son père avait passé la nuit dehors, alors la jeune fille regarda en silence sa mère et elle prit à son tour la parole. «Mais pourquoi papa est jamais à la maison ? Moi il me manque.» La jeune fille garda le silence par la suite, puis écouta la seconde phrase de sa mère adoptive, puis elle fit ce que cette dernière lui dit, alors la petite fille sourit et lui dit toujours en souriant. «Mais pourquoi je devrais commencer par mes devoirs ? Je devrais pas m’habiller pour commencer ?» La jeune fille la regarda de nouveau en souriant, puis elle reprit la parole après avoir entendu sa mère, elle avait pris soin de prendre place sur la chaise devant sa mère. « Oui j’ai faim !»

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Evidemment, Daphne aurait du se douter qu'à onze ans, on n'avait plus de questions qu'il n'en fallait et que les réponses qu'elle lui donnait ne pouvait qu'amener d'autres questions. Mais elle avait essayé d'esquiver le coup, en parlant d'autre chose, du repas, des devoirs. Mais Roméo avait continué et elle se voyait dans l'obligation de lui fournir une explication possible. « On ... s'est disputé avec ton père, c'est pour ça qu'il n'était pas là. Mais il va revenir, tu lui manques aussi ! » Une certitude, sans doute pas, Daphe n'était plus sûre de rien mais elle savait tout de même que Jeff tenait aux enfants. A ses questions suivantes, Daphne sourit, Roméo pensait toujours à tout, au moindre détail même si s'habiller était bien logiquement dans la liste des choses à faire. « Tout à fait mais après ce sera les devoirs. Comme ça, quand papa reviendra tu auras plus de temps pour être avec lui. » La bonne excuse, toute trouvée grâce à l'absence de Jefferson. Daphne lui demanda si elle avait faim et se leva pour lui amener ce qui commençait doucement à refroidir, fait pour le petit-déjeuner. « Alors voilà princesse, votre repas est servi ! » Le sourire sur le visage, la jeune femme s'occupa un peu de Roméo et écouta les bruits provenant du reste de la maison, tentant de déterminer si sa fratrie ou Gabriella étaient levés. Rien, le silence. Elle ne retarderait pas plus sa conversation avec Roméo. « Chérie ? A propos de ces papiers là, sur le divorce, j'aimerai que tu n'en parles à personne d'accord ? »

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La jeune fille écoutait attentivement sa mère sans dire grand-chose, elle adorait entendre le son de la voix de sa mère, elle la trouvait douce et rassurante en même temps. Pourtant, quand elle l’entendit lui dire qu’elle et son père s’était disputé et bien elle ne fut pas très rassuré de l’entendre, car elle n’aimait pas les voir se disputer. Malgré tout, sa mère réussit à la faire sourire, car elle lui dit que son père s’ennuyait d’elle, alors elle dit. «Une chance qu’il s’ennuie de moi.» Elle fit son sourire d’ange qui charmait tout le monde dans sa famille, puis elle écouta attentivement de nouveau sa mère, mais elle n’avait vraiment pas envie de faire ses devoirs, alors elle dit. «Mais j’aime pas faire mes devoirs, c’est long et je peux pas m’amuser durant ce temps-là.» Une fois assit, sa mère lui demanda si elle avait faim et la jeune répondit de façon positive et attendit que sa mère lui apporte son déjeuner. Une fois fait, la petite commença tranquillement à manger et entendit sa mère parler, alors elle avala et dit. «Alors j’avais raison ?» Son sourire avait disparue, elle ne voulait pas que ses parents divorce.

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Il allait falloir parler, en dire un peu à Roméo. Daphne n'était pas sûre que ce soit une bonne idée mais si quelqu'un devait être au courant c'était sans doute Roméo et Gabriella dans une moindre mesure. La petite dernière était encore sans doute pour comprendre toutes les implications de ce qu'elle allait dire à Roméo mais il fallait qu'elle essaye de lui en parler après. Une épreuve de plus, Daphne n'en doutait pas. Mais d'abord, Roméo avait répondu à sa mère avec son petit sourire qui lui faisait toujours tout lui céder. Malheureusement pour la petite, Daphne avait malgré tout un sens aigu des obligations et des devoirs, sa questions suivante fut alors accueillit par un petit rire. « Oui mais rappelle-toi qu'une fois grande tu seras contente d'avoir fait tes devoirs pour ne pas finir comme notre cher voisin. » C'était toujours et depuis quelques temps déjà un très grand moyen de persuasion que de parler de leur voisin, sans emploi, sans famille, qui n'entretenait pas son terrain et fouillait parfois les poubelles de ses voisins. C'était extrême mais ça fonctionnait à tous les coups. « Et puis je t'ai promis qu'on ferait quelque chose après, rien que nous deux mais si tu ne les fais pas, on ne pourra pas sortir.  » C'est après qu'elle servit Roméo et lui demanda de garder sous silence ce qu'elle avait lu sur les papiers. « Rien n'est encore fait Roméo. Je veux seulement discuter avec ton père mais, c'est une possibilité à envisager... Je suis désolée, je voudrais tellement que les choses s'arrangent. » Mais elle ne pouvait pas détailler plus, ce n'était pas à la petite fille de recevoir toutes ses plaintes et de connaître tout ce qui pouvait ne pas aller. Elle préférait garder certaines choses pour elle.

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Une fois assit la jeune fille attendit d’avoir son déjeuner, pour pouvoir débuter une belle journée. Une fois le tout devant elle, la petite commença tranquillement à manger, mais écouta attentivement sa mère lorsque celle-ci lui parla des devoirs et surtout lorsqu’elle parla du voisin. La petite fit un regard de dégout, puis elle finit par reprendre la parole à son tour en souriant. «Maman ! Parle-moi pas de lui, l’autre jour, je jouais devant le terrain et il voulait que je vienne jouer dans sa maison.» La petite regarda sa mère en souriant, puis après quelque instant, elle lui parla de leur projet de passer du temps juste toute les deux, alors elle sourit, mais repensa à sa petite sœur. «Mais Gabriella ? Tu fais quoi d’elle ? Tu vas la laisser toute seule ici ?» La fillette regarda attentivement sa mère avec un regard intrigué. Par la suite, sa mère parla du papier, il s’agissait vraiment de divorce entre sa mère et son père, alors elle la regarda attentivement et dit. «Mais tu peux pas laisser papa ! Il est gentil.» Roméo ne comprenait pas, mais il est vrai que la jeune fille était encore jeune. Roméo fini son déjeuner et se leva de table pour ensuite prendre la main de sa mère et l’entrainer avec elle. «Tu vien ? On va choisir mes vêtements.»

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Tout de suite après l'évocation du voisin, Roméo répliqua et Daphne se retint de lui corriger son erreur de français, prêtant seulement attention aux sens de ses mots. « Je ne veux jamais que tu le suives d'accord ? Pour n'importe quelle raison, toi comme Gabriella vous restez devant nos fenêtres, je ne veux pas vous perdre de vue. » Elle ne savait pas si Roméo comprenait ce que pouvait vouloir le voisin ni même si sa phrase avait été évoqué pour faire office de mise au courant mais Daphne préférait être sûre. Suspecter son voisin lui suffisait. Elle ne voulait pas qu'il lui prouve qu'il avait raison, jamais. Il n'approcherait pas les enfants. Puis elle évoqua leur probable sortie dans la journée à laquelle l'enfant répondit de nouveau par des questions. Tout sourire Daphne dit simplement :« Je suis sûre qu'Anakin sera heureux de la garder, ça lui changera des filles qu'il fréquente d'habitude ! Je ne laisserais pas Gabriella toute seule si je ne la savais pas entre de bonnes mains, crois-moi. » La conversation continua ainsi et les papiers du divorce revinrent sur le tapis, Daphne essayant de ne pas trop en dire tout en faisant comprendre à Roméo ce qui risquait de se passer. « Bien sûr qu'il est gentil ma chérie mais, c'est plus compliqué que ça tu sais. Il arrive qu'on ne puisse plus s'entendre et alors il vaut mieux, pour tout le monde, se séparer, tu comprends ? » Elle ne pouvait pas tout comprendre pourtant, Daphne aurait beau essayer de le lui expliquer, il y aurait toujours des points sombres, surtout que la jeune femme ne voulait surtout pas que Roméo ou Gabriella aient une mauvais opinion de leur père, l'opinion de leur mère.

Le petit-déjeuner terminé, Roméo entraîna Daphne pour choisir ses vêtements, jour sans école, elle pouvait s'habiller comme il lui plaisait, surtout qu'elles allaient sortir dans la journée. « Je te suis. » Devant l'armoire, elle regarda sa fille et la questionna dans le but d'ouvrir le bon côté du meuble : « Coloré ou sobre ? »

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La jeune fille venait de parler de ce qui lui était arrivé quelque jour plus tôt et elle entendit rapidement sa mère lui dire qu’elle ne voulait pas qu’elle le suive sous aucun prétexte, même s’il lui offrait des choses. Roméo regarda sa mère en silence, puis la petite fille fini par reprendre à son tour la parole. «Et bien……» Elle s’arrêta, puis elle dit. «Le même jour que quand il m’a demandé de venir jouer dans sa maison, il m’a dit que j’étais jolie et que parfois quand je dormais, il me surveillait par sa fenêtre pour pas qu’il m’arrive des malheurs.» Elle prit une pause et recommença. «Lorsque j’ai dit non, il m’a pris le bras et m’a tiré jusqu’à sa maison, mais tante Phyllis est arrivé et m’a fait revenir à la maison, j’ai eu peur.» La petite fille regarda attentivement sa mère, puis garda le silence écoutant la réplique de sa mère sur le fait que Gabriella serait surveillée par Anakin. «Oui, d’habitude les dames qu’il fait venir ici quand tu n’es pas là son presque pas habillé et ils font beaucoup de bruit dans sa chambre.» Elle ne savait pas ce que cela voulait dire, mais elle ne chercha pas à savoir. Soudain, sa mère lui parla du papier, alors elle dit. «Mais non, il faut que toi et papa vous soyez toujours ensemble, sinon je serais triste.» Ce fut après cela que Roméo entraina sa mère, presque de force vers sa chambre pour choisir des vêtements. Une fois devant son meuble, sa mère lui demanda ce qu’elle voulait. «Coloré, mais pas de pantalon….les pantalons c’est pour les garçons.» Elle sourit et attendit.

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Quant Roméo continua, parlant du voisin, la colère et la peur de Daphne firent leur apparition. Elle savait que quelques fois les dires d'un enfant pouvait aller en exagérant mais sa fille n'était pas de celles qui mentaient, volontairement ou non. Daphne nota immédiatement dans un coin de sa tête de se rendre au poste de police pour signaler l'attitude du voisin plus que suspecte. Elle devrait sans doute aussi s'assurer auprès de Lily que tout c'était bien passé comme ça. « Heureusement qu'elle était là. Si jamais il s'approche de nouveau tu n'auras qu'à crier. On sera tous prévenus qu'il est là ok ? » Inquiète, elle espérait que Roméo comprenne bien qu'elle ne plaisantait pas. Abordant ensuite le sujet des multiples conquêtes d'Anakin, Daphne rigola en songeant que, heureusement, Roméo ne comprenait pas toute la situation. Elle veillerait tout de même à prévenir son frère que soit il était plus discret soit il vivait ses histoires de coucherie ailleurs qu'à l'appartement. « C'est que ton oncle c'est un vrai rigolo, il adore essayer de nouvelles plaisanteries avec ses amies. » Pire excuse du monde, elle aurait pu trouver tout autre chose mais elle doutait qu'à l'âge qu'avait Roméo, elle croit encore qu'Anakin puisse être entrain d'imiter un avion en plein vol, toute la nuit, avec une spectatrice. Puis Roméo la fit se sentir mal. Elle ne voulait pas que sa fille soit triste, ni l'une ni l'autre, elle ne voulait pas et ne pouvait pas les laisser triste. Mais si la situation persévérait comme ça, ça allait être Daphne qui ne saurait plus quoi faire, et qui rendrait finalement ses enfants tristes par sa simple présence. Il valait mieux arrêter les dégâts maintenant. « J'aimerai vraiment tu sais, qu'on puisse être toujours ensemble. Mais tu verras que même si on n'est plus ensemble, il n'y aucune raison d'être triste. Tu auras deux maisons et tu auras aussi le double de cadeaux à noël. » C'était pitoyable comme justification mais elle ne trouvait rien de mieux.

Maintenant à la séance habillage, Daphne écouta la réponse de sa fille. « Comment ça pour les garçons ? Tu veux dire que je suis un garçon moi ? » Car oui, en effet, en dehors du travail, Daphne n'enfilait que des pantalons, elle avait bien trop souvent des jupes à porter pendant les vols et préférait de loin la sensation d'un jean, c'était bien plus rassurant, de son avis. « Bon alors ... cette jupe et ce haut, ça t'irait ? » Coloré, ça l'était et il n'était pas question de pantalon. Elle proposait surtout une jupe parce que la plupart des robes achetées étaient encore dans le tambour de la machine à laver et qu'elle n'avait pas eu le temps de les sortir aujourd'hui.

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Roméo venait juste d’expliquer à ce qui c’était passé lorsque sa tante était finalement arrivé lorsque leur voisin avait voulu entrainé la jeune fille dans sa maison. Enfin, sa mère lui dit que si la prochaine fois, il recommençait, elle n’aurait cas crier pour que sa famille sache qu’il se passait quelque chose. La jeune fille sourit, un peu mal à l’aise et approuva tout de même d’un simple signe de tête. Par la suite, la conversation retourna sur son oncle et les femmes qu’il faisait venir à la maison. Sa mère lui donna une explication et à son âge, la jeune fille ne comprenait pas vraiment ce qui pouvait bien se passer derrière la porte de son oncle, elle sourit à la réplique de sa mère et dit. «Surtout que la fille doit pas aimer cela, elle cri toujours.» Elle regarda sa mère, puis la discussion retourna sur le divorce, alors la jeune fille écouta attentivement sa maman et elle dit. «Mais je ne veux pas avoir deux maison moi, je veux mon papa et ma maman ensemble.» Puis les deux se rendirent dans la chambre pour la séance d’habillage. Une fois la réponse donnée à sa mère. Celle-ci lui sortit une jupe et un haut, alors la jeune la regarda en silence et dit. «Oui, c’est parfait ! Mais il ne fait pas un peu froid dehors aujourd’hui ? Peut-être qu’il faudrait aussi des collants ?» Elle regarda sa maman en silence. «Et oui, tu ressembles à un garçon avec des pantalons.» Elle se mit à rire.

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Daphne connaissait bien sa fille. On avait beau lui dire tout ce qu'on voulait, c'était sa fille et en tant que telle elle la connaissait par coeur. En tant que telle, elle crut percevoir une gêne de la part de Roméo. C'était fugace et inhabituel aussi Daphne fronça seulement un instant les sourcils avant de passer à autre chose. Ce qui était sûr, c'était que le voisin ne s'en sortirait pas indemne s'il recommençait à approcher ses enfants ! Elle était capable de tuer si on lui apprenait qu'il leur était arrivé quelque chose !

La suite de la conversation fut bien plus agréable même si, cette fois, la gêne venait de Daphne qui ne se voyait pas expliquer à Roméo ce que faisait Anakin dans sa chambre avec ces filles. Aussi quand l'enfant parla de cris de désapprobation qu’émettaient les filles, elle ne put retenir un rire. « Non, elle ne doit pas aimer du tout. Il faut dire aussi que ton oncle se croit toujours drôle mais ce n'est pas forcément vrai. » Double sens ? Sans doute mais d'ici à ce que Roméo comprenne de quoi il était question, elle oublierait que sa mère avait joué sur les mots et les significations. « Chérie ... ce n'est pas encore fait. Il faut d'abord que je discute avec papa et je te promets qu'on fera tout notre possible pour que ça n'arrive pas. » C'était vrai. Daphne n'avait pas réellement envie de divorcer, elle aimait Jefferson mais la famille était compliquée, sa vie était compliquée et sa relation avec lui encore plus. Elle ne pouvait nier qu'il n'y avait plus rien entre eux à part quelques banalités. Ce n'était pas ce qu'elle voulait pour sa vie de couple et ce n'était pas la vie qu'elle voulait non plus pour ses enfants : un père absent, des parents qui ne se parlent pratiquement plus si ce n'est pour se confronter et se disputer.

« Peut-être. Je ne sais pas du tout quel temps il fait mais si tu dis qu'il fait froid, je te crois. Après tout, c'est toi qui aura trop chaud si tu t'es trompée ! » Elle sourit gentiment à sa fille prononçant cette phrase sur le ton de la taquinerie. « Et bien merci, j'apprécie de savoir que tu trouves que je ressemble à un garçon. File t'habiller tiens. Si tu as besoin d'aide avec ce collant, je reste là. »

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Roméo était vraiment mal à l’aise de parler du voisin et c’est pourquoi, elle était contente que la discussion tourne autour de son oncle cette fois. Donc la jeune fille regarda sa maman en silence et ne dit rien au propos de sa mère, faisant juste sourire à celle-ci avec son plus beau sourire. Vint ensuite le moment où elle parla du divorce, Roméo ne voulait vraiment pas qu’elle divorce d’avec son papa, car elle les aimait et elle voulait qu’il reste toujours ensemble. La jeune fille écouta attentivement sa mère et sourit en coin quand elle lui promit de tout faire pour que le divorce ne se fasse pas et qu’elle reste son papa. Donc ce fut à cet instant que la petite entraina sa mère dans sa chambre pour prendre ses vêtements. «Non, tu as raison que tu as dit que les plaisanteries de tonton Ani ne sont pas toujours drôle.» Elle sourit, puis après elle dit. «Contente que tu dise que tu feras ton possible pour papa.» Puis sa mère lui parla du temps. «Je te le dit, il fait froid dehors.» Puis elle rigola quand sa mère répliqua à sa remarque, alors elle retira son pyjama et enfila son haut, mais regarda sa mère et lui tendit les collants. «Tu peux m’aider s’il te plait?» Elle regarda sa mère en attendant son aide. «Maman! il y a un garçon à l'école...... non laisse faire.» Elle s'arrêta.

« Bonjour,
Nous avons constaté que le sujet suivant n'a pas reçu de réponse depuis un moment, nous vous laissons jusqu'au 10 novembre sinon, le sujet sera verrouillé.
Merci de votre compréhension. »

Verrouillé & Abandonné