Je te regarde Lizbeth A. Blackwood et je connais tous tes secrets ! -W ☇ ÂGE RÉEL : 30 ☇ DATE D'ANNIVERSAIRE : 19/02/1994 ☇ A EMMÉNAGÉ LE : 12/05/2013 ☇ MENSONGES : 2854 ☇ JEU A LA : mixte ☇ AVATAR : Eva Green | Sujet: Re: Over the love Linus Mar 13 Aoû 2013 - 0:35 | |
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Elle avait un mauvais caractère en ce moment. Bon sang, il la frustrait au plus haut point. Il avait pris son cellulaire pour lui donner de la merde tandis qu’ils se préparaient à faire l’amour dans la douche ! Pourquoi fallait-il briser ce moment de retrouvaille ? Un moment pour eux. Il fallait qu’elle le partage avec son foutu cellulaire. Comme, elle détestait la technologie et ces progrès en ce moment. Pourquoi diable s’était-il préoccupé de son téléphone ? elle avait vraiment envie de Linus. Elle ne passait jamais par quatre chemins pour lui dire, mais il venait de freiner leur démonstration amoureuse en regardant ses messages textos. Bordel, elle n’aurait jamais cru qu’un simple message pourrait susciter autant d’indignation et de colère de la part de Linus. Lizbeth avait lu. Oui, ce dernier était vraiment étrange. Elle comprenait Linus de se demander qui pouvait bien lui envoyer ce genre d’idiotie, mais elle n’y était pour rien dans cette histoire. Elle était blessée par les accusations qu’il portait envers elle. Elle n’aurait jamais donné le numéro de téléphone de son amant et son amoureux aux clones. Lizbeth n’était décidément pas autant idiote. Elle savait à quel point son mari tenait à ce que son numéro de portable reste secret. Elle respectait depuis le premier jour. La jeune femme était une privilégiée depuis bon nombre d’année. Elle ne cesserait de garder jalousement le numéro de celui qu’elle aimait que pour elle. Ses copines avaient autrefois tenté de le séduire. Bien que ce soit du passé, Lizbeth n’arrivait à partager ce qu’elle avait. C’était son homme. De plus, les clones le haïssaient et ne désiraient uniquement voir le couple se séparer. Il était logique qu’elle ne partage son trésor soit le numéro de téléphone de Linus Chatwood.
Elle agissait donc avec violence à ses accusations dès plus blessante. Elle repartait encore une fois sur une poussée de colère le poussant. Elle évitait de lui mettre une autre gifle. La première lui a brisé le cœur. Elle s’en voulait toujours. Le spectre de la claque la hantait encore. Lizbeth n’était décidément pas en état de vouloir faire des galipettes en étant blessé dans son estime. Il venait de l’accuser de l’une des plus grandes traitrises - après l’infidélité bien sur – injustement. C’était terrible à quel point c’était frustrant. Elle avait remis sa robe tout en la fermant en faisant une acrobatie qu’elle avait apprise pour se débrouiller sans l’aide de son ingrat de mari. Elle voulait sortir de cette demeure pour récupérer ses esprits. Sortir pour fuir les disputes. C’était trop pour elle. Les larmes aux yeux, elle passait aux côtés de son mari pour sortir de la pièce. Elle ne voulait plus dormir ici. Elle ne voulait plus être avec lui à l’instant même. Linus pensait qu’elle le poignarderait à la première occasion. Il se trompait littéralement, mais c’était difficile de s’apercevoir de cela. «Eh, oh ! Je DEVAIS répondre ! Le Fingertips n'est pas fermé et mes employées pouvaient m'appeler en cas de pépin ! C'est uniquement pour cette raison que j'ai répondu, pas parce que je le préfère à toi ! Non mais quelle idée ! » Elle se retourna larme aux yeux. « oh… c’est vrai, tes employées NE POURRAIENT JAMAIS TE FAIRE UN SALE COUP » Elle hocha rageusement de la tête. « J’ai le dos large, mais je crois que la moindre des choses c’est ne pas m’accuser. Tu donnes ton numéro à des inconnus, soit… MAIS C’EST MA FAUTE ! T’es le roi des cons. Bon sang, t’es vraiment stupide. Un génie de la science, un super connard niveau des émotions. » Elle le regardait avec dégout. Il était véritablement stupide. « Ton téléphone compte plus que nous deux. Oui c’est vrai le message est suspect, mais JE NE SUIS PAS UNE CONNE QUI DONNE TON NUMÉRO AUX CLONES. J’ignore pas dans ta haine contre elle, j’évite les problèmes tu sais. APPAREMMENT J’EN AI MARIÉ UN PROBLÈME SUR PATTE. » elle massa ses tempes. « Je sors, j’en ai marre. Je sors sans toi. SURTOUT SANS TOI » Elle se dirigea vers la porte d’entrée en prenant son sac à main. « Je ne sais pas si je vais rentrer. » Elle sortit par la porte avant se faisant suivre par son mari lui refermant quasiment la porte dans la face. Elle manque de débouler les trois marches menant vers la porte d'entré. « T'AS PAS FINI DE ME SUIVRE, T'ES UN ENFOIRÉ. HEATHER AVAIT VRAIMENT RAISON. T'ES QU'UN CON, UN ENCULÉ !!!!!! » elle descendit les trois marches pour s'éloigner vers le trottoir pour fuir son mari
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Je te regarde Linus O. Chatwood et je connais tous tes secrets ! -W ☇ ÂGE RÉEL : 41 ☇ DATE D'ANNIVERSAIRE : 01/05/1983 ☇ A EMMÉNAGÉ LE : 13/04/2013 ☇ MENSONGES : 169 ☇ JEU A LA : Première ou 3e ☇ AVATAR : Michael Pitt | Sujet: Re: Over the love Linus Mer 14 Aoû 2013 - 0:37 | |
| Lizbeth & Linus Over the Love.
Elle me réplique aussitôt qu'il y a une possibilité que ce soit une de mes employées. Non, bien sur que non, elles n'oseraient pas, puisque je crois bien que je les intimide toutes et c'et bien comme ça. En plus, comment pourraient-elle savoir quoique ce soit sur Liz ? Non, ce n'est certainement pas mes employées, pas plus que Hetty ou quelqu'un à qui j'aurais pu refiler mon numéro.
- Certainement pas mes employées ! Je vois pas ce qu'elles pourraient savoir sur toi, tu viens d'arriver !
Même pas 2 heures et on s'engueule déjà. D'accord, on s'est déjà querellé, souvent au sujet des clones, mais aujourd'hui, ça dépasse tout. C'est d'ailleurs les derniers mots que j'arrive à placer. Je reste stupéfait par tout ce qu'elle me balance par la tête. Stupide ? Stupide, moi ? Surement pas ! Je suis un véritable petit génie ! Je peux concéder que niveau émotif, on a vu mieux que moi, mais tout de même, je ne suis pas non plus un sociopathe. Mais tout de même, ses parles sont virulentes et son choix de mots est tout à fait révoltant. Je suis peut-être pas dans une période des plus brillantes, mis quand même, est-ce que je mérite de tels propos ? J'en caisse toutes ses paroles, bouillant à l'intérieur, mais incapable d'en placer une. Peut-être est-ce parce que si je m'exprime, ce sera dévastateur et je dirai des choses que je ne pense pas vraiment. Je l'ai fait, plus tôt et je n'aime pas ça, ce n'est pas moi. Je suis acerbe, je suis méchant, mais je n'insulte pas gratuitement. Sauf les clones, que je trouve des plus insignifiantes, que je me permet d'insulter sans remords. Mais là n'est pas la question. Je suis tellement choqué par les propos de Liz que je n'arrive qu'à la suivre, sans oser lever la main sur elle, par crainte que le geste dépasse la pensée. Elle me lance qu'elle sors sans moi et prend son sac à main.
- Ou tu vas ? l'interrogeais-je sèchement.
Elle ne me répond pas et je doute même qu'elle m'ait entendu. Elle ouvre la porte et lance qu'elle ne rentrera peut-être pas. Cette réplique ma glace le sang et j'ai brusquement envie de tout démolir. Non mais quoi ? Elle ne rentrera pas peut-être pas ? ELLE NE RENTRERA PEUT-ÊTRE PAS !? Je viens pour le lui demander, peut-être pas de la meilleure manière, certes, mais j'allais tout de même le lui demander. Mais je n'ai pas le temps, parce qu'elle me claque la porte au nez. À ce moment là, j'aurais tout fait péter autour de moi. J'aurais tout balancer à travers la pièce et j'aurais fracassé la porte, mais tout ce que j'arrive à faire, c'est d'ouvrir la dite porte et de m'expulser sur le balcon. Je la voit presque trébucher dans les quatre petites marches et je me surprend à à craindre qu'elle ne tombe.
- SI TU T'EN VAS C'EST PAS LA PEINE DE REVENIR !
Je regrette aussitôt ce que je viens de dire, mais je suis furieux. Et accessoirement, je me rend compte que je gueule sur le perron en caleçons et les voisins, une adorable petite famille américaine, rentre tout juste. Je me précipite à l'intérieur et claque la porte de toute mes forces. Je dois avouer que ça n'a aucun impact. Ni sur la porte qui se subit aucun dégât, ni sur mes nerfs. Ça ne me défoule pas du tout. Mais j'ouvre la porte à nouveau. Tant pis pour les voisins, l'adolescente et la mère pourront se rincer l'oeil. Je travers le perron et j'apostrophe mon épouse.
- ET LE CENTRE-VILLE, C'EST DE L'AUTRE CÔTÉ !
Et cette fois, je retourne à l'intérieur pour de bon et je claque encore une fois la porte avec violence. Encore là, aucun dégât sur la maison, ni sur ma colère. J'ai déjà trop fumé, mais je saute littéralement sur mes cigarettes et je m'allume. ça m'occupe les mains, ça me donne une dose de nicotine. Il faut que j'aère la pièce. Faut que j'aère les pièces. Faut que j'aère ma tête et mes pensées.
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Je te regarde Invité et je connais tous tes secrets ! -W | Sujet: Re: Over the love Linus Jeu 15 Aoû 2013 - 6:45 | |
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Je te regarde Contenu sponsorisé et je connais tous tes secrets ! -W | Sujet: Re: Over the love Linus | |
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