C'est quoi ces bêtes là ?

☇ Lors d'une visite au zoo, tandis que celle-ci est fermé pour la semaine , le système de sécurité de l'établissement sur chausse laissant les animaux libres, malheureusement, la porte d'entrée est vite défoncée et les bêtes se ramassent rapidement dans le centre-ville de Atlanta . Que se passera-t-il ?

*Aucun ordre de postage

PARTICIPANTS
- Constance Weeler-Swanson
- Penny E. Ribbs
- Rosa G. Summers
- Nathan McGrath
- Gabriella Winter
- Roméo S. Blue

C'était un beau jour comme Nathan les aimait. Le soleil brillait dehors à son zenith. La journée s'annonçait donc bien. En effet, quand le ciel était sombre et rempli de nuage, l'avocat avait tendance à être morose. Alors que lorsque le ciel était d'un bleu limpide comme aujourd'hui, il allait au travail le baume au cœur. Ce matin, comme chaque matin, il s'était arrêté au Starbuck Café pour prendre une boisson chaude comme il les aime. Mais alors qu'il retournait à sa voiture, une chose étrange se produisit. En effet, il vit passer devant lui une girafe. Nathan se stoppa et se pinça le bras croyant rêver. Malheureusement c'était belle et bien la réalité. Afin de comprendre ce qui se passait et d'en savoir plus, il décida de continuer à pieds, en aller d'avantage au cœur au centre ville. Il ne savait pas où allait l'animal et qu'elle était la cause de tout cela. Mais il savait qu'un désordre général suivrait et il ne voulait pas en louper une miette. Il marcha donc d'un pas calme, suivant la girafe. Il attendait que quelque chose se produise...

Ft. Constance, Nathan, Gabriella, Roméo et Rosa.

❥ C'est quoi ces bêtes là ?

Fulminant, je sortis des locaux du FBI. Une habitude ces derniers temps. Encore une fois, on m'avait refusé le droit d'enquêter sur l'affaire qui aurait pu représenter un semblant d'intérêt. Prenez celle qui vous tombe sous la main disait le chef. Oui mais voilà, ce qui me tombait sous la main n'intéressait personne, en tout cas pas moi. Je préférais de loin me promener dans Atlanta que de lire plus assidûment le dossier d'une grande firme qui se faisait apparemment de l'argent sur le dos des petites gens. Ce n'était pas pour moi. Je préférais les meurtres sanglants, les affaires sordides, les mystères du mois, les disparitions. Tout ce qui pouvait rendre service à la société ... pas à un seul homme aux poches débordantes d'or.

Les mains dans les poches, prête à rejoindre ma voiture pour rentrer sur Lakeview, je me stoppais nette. Figée en plein mouvement, le visage ahuri. Depuis quand le cirque offrait-il une démonstration en plein centre-ville ? Non parce qu'une girafe à cette heure-ci de la journée, seule et sans propriétaire appartenait plutôt à la catégorie, événements extraordinaires !
Surprise et néanmoins intéressée par ce petit mystère, je rebroussais chemin, cherchant d'où venait la bête. Le zoo ... Je n'étais apparemment pas la seule à m'intéresser de près à cet événement puisque quelques badauds suivaient mes pas. « Encore mieux que le carnaval de Rio ! » J'étais légèrement moqueuse et marmonnait cette phrase plus pour moi-même que quiconque d'autre.

© code de night sky. gif de tumblr.

Depuis quelque temps, Roméo était retourné dans un foyer d’accueil et la famille qui le gardait étaient très unit. Ils acceptaient le fait que Roméo était une fille et l’aidait quand quelque chose n’allait pas. Donc en ce beau matin, Roméo se leva et alla enfiler un t-shirt rose et mit également une jupe, puis des sandales. La femme qui l’avait pris le temps qu’il trouve une famille arriva dans sa chambre et lui deux lulu, puis Roméo alla rejoindre les deux autres enfants qui se trouvait dans le salon. Une fois que tous furent prêt, ils montèrent dans la voiture et roulèrent jusqu’au centre-ville. Une fois sur place, la voiture se gara devant un petit casse-croute et les quatre personnes marchèrent à l’intérieur et commandèrent leur repas. Assit sur le bord de la fenêtre, Roméo regarda à l’extérieur et vit une gazelle passer devant la fenêtre. Il marcha vers la femme qui s’occupait de lui et il dit. «Vite, venez voir, il y a des gazelles à l’extérieur.» La femme le regarda, puis elle dit. «Ne dit pas de bêtise, il n’y a pas de gazelle dans les rues, ils sont au zoo.» Roméo la regarda, puis il retourna à la table, mais il décida de sortir du petit casse-croute et suivit les gazelles, ne faisant pas attention au fait qu’il était partie sans la permission de la femme.

(HJ : J’adore vos postes ! Romeo, trop drôle ! )

Constance Swanson se retrouvait comme à son habitude au casino d’Atlanta, celle qu’elle hérita suite au décès de son mari Jaymes Weeler. L’explosion avait créé un tas de perte dont son mari. À croire qu’elle ne pourrait pas profiter de l’homme de sa vie plus longtemps. Enfin, malgré la souffrance toujours prenante, Weeler tentait de continuer à vivre. Bien habillée – ce qui changeait de sa période femme à la rue – la brunette sortit du casino et alla se chercher un petit café au Starbuck du centre-ville. Le sac en main et son gobelet dans l’autre, elle sortit du café et c’est à ce moment qu’elle aperçut des animaux de la jungle un peu partout dans la ville. Le regard ahurie, un sourire étrange rejoint son sourire jusqu’à`ce qu’elle voit la girafe au bout de la rue. Étrangement, depuis toujours, la PDG du casino avait une phobie impossible des girafes. C’est à ce moment qu’elle laissa tomber son sac de beigne et renversa son chocolat au lait sur son ensemble. Elle hurla et se rua droit sur l’homme à ses côtés – Nathan – s’accrochant à lui de manière paniquée. Sa respiration semblait s’accentuer de minutes en minutes et son visage changea vite de couleur. « Oh mon dieu !! »

Nathan n'eut pas longtemps à attendre car une chose se produisit. En effet, alors qu'il observait les animaux, car il y en avait d'autres en plus de la girafe, une jeune femme s'approcha de lui brusquement en hurlant. L'homme n'eut pas vraiment le temps de réagir car cette dernière s'accrocha à son bras paniquée. Comme pour joindre le geste à la parole, elle cria une phrase qui pourrait être tout droit sortie d'un film ou d'une série. Nathan fut légèrement amusée de la réaction de la femme. Mais il ne se moqua pas d'elle. Au contraire il tenta même de la rassurer.

- Je comprends votre réaction, mais si cela peut vous rassurer madame, je pense que la girafe a aussi peur que vous. Au fait moi c'est Nathan. Quitte à se tenir les coudes, autant apprendre à se connaître. Dit-il en riant.

Nathan était pour l'instant calme, du moins il ne montrait pas sa nervosité. A vrai dire, il était même légèrement surexcité. Après tout ce n'est pas tous les jours qu'une telle situation se produit...

Roméo marchait toujours dans les rues et tentait de suivre les gazelles, mais celle-ci allaient trop vite pour lui. Puis après quelque instant, il vit le groupe de gazelles tourner une rue, il voulut les suivre, mais il vit une girafe qui marchait dans l’autre rue, alors il marcha vers elle. Il remarqua de nombreuses personnes qui marchaient dans les rues, mais les gens ne faisait pas attention au fait qu’il portait des vêtements de fille, mais plutôt par le fait qu’une girafe marchait dans les rues….enfin même si les gens l’aurait regardé lui, il s’en serait foutu, car on lui avait toujours appris à ne pas faire attention aux autres quand ceux-ci vous regarde étrangement. Donc le jeune continua de marcher dans la rue à la suite de la girafe, puis soudain, il entendit un grognement près de lui, alors il tourna lentement la tête et vit une lionne qui le fixait avec ses yeux. Roméo recula de quelque pas, mais la lionne avança également en le regardant fixement. Toujours en reculant, Roméo trébucha sur le bord du trottoir et tomba assit sur celui-ci et regarda la lionne avançer.

Constance avait toujours eu cette étrange phobie, elle ne se souvenait pas d’où cela lui venait, mais une chose était certaine, elle n’arrivait pas à la contrôler, ce qui expliqua son crie et qu’elle se soit agrippée au bras d’un inconnu. C’était un homme et Swanson savait parfaitement qu’elle pouvait s’y sentir un peu plus à l’abris, bien que contre une girafe, même un pompier ne pourrait rien faire. D’un sourire à la fois stressée et amusée, la belle brune leva les yeux vers son compagnon qui se présenta à elle malgré l’étrangeté de la situation. Un rire nerveux sortit de sa bouche et elle se lança. « Aussi peur que moi, je ne veux pas vous insulter mon cher Nathan, mais j’ai bien peur que non ! » Constance alla même jusqu’à enfoncer ses ongles dans la peau du pauvre innocent. « Moi c’est Cotance… hum Constance ! » La nervosité l’amenait à dire n’importe quoi. Elle fixa au loin la bête jusqu’à ce qu’elle entrevue un gamin qui se faisait dangereusement approcher par un lion. « Oh ! Regardez là-bas, ce gamin va se faire bouffer vivant, il faut faire quelque chose. » Elle regarda autour d’elle et ne trouva rien pour se défendre sauf la bombe de poivre qu’elle gardait dans sa sacoche. « Je crains que ce ne soit utile, mais c’est mieux que le couteau en plastique que j’avais prévu de prendre ! » Dit-elle en souriant bêtement.

Ft. Constance, Nathan, Gabriella, Roméo et Rosa.

❥ C'est quoi ces bêtes là ?

J'étais presque subjuguée par les quelques bêtes qui passaient devant nos yeux. Comme tout le monde, je m'étais arrêtée pour observer le phénomène avant de retrouver une attitude plus responsable. Que les girafes passent, que les gazelles circulent dans le sens des voitures, c'était une chose. Mais si les herbivores trottinaient sur le bitumes, il devait en être de même pour les carnivores ... omnivores. Je vérifiais la présence de mon arme et me retournais brusquement en entendant une jeune femme hurler. Je ricanais intérieurement. Elle avait peur d'une girafe. L'homme qui la rassura me fit plus doucement sourire. Il semblait calme et raisonné. Une chose qui manquait à l'inconnue.
Je m'approchais lentement et doucement de leur position et écoutait vaguement ce qu'ils disaient tout en essayant de quadriller la zone du regard. Pourvu qu'aucun fauve n'apparaisse. Malchance, prémonition, jour funeste, une bête de cet ordre apparut et j'entendis vite la femme qui s'était dite nommée Constantce parler d'un enfant. Je la regardais sortir sa bombe au poivre et j'aurai sans doute rigoler si la situation n'était pas aussi mauvaise. Au lieu de quoi, je me rapprochais encore et posais une main doucement sur son bras. « On va éviter la bombe au poivre ... ce serait un coup à vous en mettre dans les yeux et à ne plus pouvoir courir si le roi lion décide que vous ressemblez à un steak. » Je sortais mon glock, appréciant le fait que la sécurité de l'arme soit intégrée à la gâchette et m'éloignais du duo en fixant la bête qui se rapprochait du gamin. « Ça, c'est plus efficace. » Je n'avais aucune envie de tirer sur l'animal et m'étant suffisamment rapprochée, je tirais un coup en l'air pour faire peur à la lionne. Elle releva simplement la tête surprise. Je tirais un second coup. Elle jugea plus prudent de partir. Je m'approchais du gamin qui semblait habillé pour un carnaval. « Ça va petit ? T'as perdu ta mère dans la foule ? »

© code de night sky. gif de tumblr.

Roméo était tombé quelque instant plus tôt sur le trottoir et regardait toujours la lionne qui marchait lentement vers lui, mais on savait de quoi elle avait envie de manger quelque chose et ce quelque chose semblait être Roméo. Alors il resta figé sur place et même s’il voulait se sauver, il n’y arrivait pas et il savait que si personne ne faisait rien et bien, il finirait dans le ventre de cette lionne. Toujours figé sur place, il fut rapidement sortit de ses pensé quand il entendit un coup de feu près de lui. Le jeune leva la tête et vit une femme qui se trouvait près de lui et vit une arme dans sa main. Elle devait donc avoir tiré dans les airs pour effrayer la lionne. Soudain Roméo se remit debout et regarda la femme en silence, celle-ci lui demanda si ça allait, mais elle ajouta petit, alors il la regarda. «Oui! Mais je ne suis pas un ‘’petit’’.» Il la regarda en silence, puis il reprit la parole quand elle lui demanda s’Il avait perdu sa mère dans la foule, alors il dit. «Non, elle commandait quelque chose et j’ai décidé de suivre les gazelles qui couraient dans les rues.»

Ft. Constance, Nathan, Gabriella, Roméo et Rosa.

❥ C'est quoi ces bêtes là ?

Le fauve parti, j'avais bien évidemment été à la rencontre du gamin qui allait être, à quelques minutes près, le goûter de la lionne. Peut-être était-il blessé. En bon agent mais surtout en personne humaine avant tout, je le rejoignais et lui demandais comment il allait. Ce à quoi j'eus d'abord le droit à un silence. Je lui laissais le temps de retrouver ses esprits, après tout, ce n'était sans doute pas tous les jours qu'on croisait un tel fauve d'aussi près et continuait à le regarder avec un sourire. Il me répondit alors, me signifiant qu'il n'était pas petit ... évidemment. J'avais le même genre de réflexion lorsqu'un adulte me disait la chose du temps heureux de ma douce jeunesse, lorsque j'étais encore avec mes parents. C'était tout un monde qui avait changé le jour où ils avaient disparu ... Revenant au garçon présent devant moi, je finis par répondre un vague : « Si tu le dis ... petit. » et l'écoutais m'expliquer ce qui l'avait séparé de sa mère. Je retins un roulement des yeux et ne fis que hausser les sourcils. Le jeune garçon était téméraire, bien trop téméraire, c'était un coup à se faire enlever sans que personne n'y voit rien. Mais la faute ne lui revenait pas tellement, elle revenait en premier lieu à la mère qui ne prêtait pas réellement attention à son fils. Je hochais la tête. « Tu ferais mieux de retourner la voir. Si la lionne se baladait dans le coin, il en sera sans doute de même pour le roi de la savane ! Les gazelles, tu les verras au zoo, quand tu ne risqueras rien face aux carnivores. »

© code de night sky. gif de tumblr.

Constance se fut rapidement intercepter par une policière – enfin selon ce qu’elle comprit – la brunette ne l’a connaissait pas ; de toute évidence, elle était à Atlanta et n’avait pas beaucoup fait le tour de la ville et de Lakeview depuis son arrivé en ville. Autrefois locataire d’un immeuble de cette ville, cette dernière préférait longuement rester en solitaire plutôt que de rencontrer des gens qui l’a jugerait pour son état financier déplorable. Aujourd’hui, c’était différent. Elle avait rencontré Jaymes, il était décédé et elle avait tout hérité. Si on la regardait cette situation d’un autre œil, on pourrait dire qu’elle avait joué de cet homme pour lui croquer sa fortune, mais Swanson n’était tout simplement pas ce genre de femme. Elle adorait l’argent oui, mais elle aimait réellement Jaymes. Sa mère l’avait totalement détruite et elle se refaisait peu à peu. Weeler fixait l’enfant et ajouta. « Je vous laisse faire alors. » Elle entreprit de sourire, mais voyait en cette situation un réel danger. Lorsque la femme réussit à faire fuir la lionne, l’enfant se releva et Swanson s’accourut vers eux. Soudainement, la vitrine d’une boutique d’électronique explosa à deux pouces d’eux, un gorille venait de lancer une poubelle dans celle-ci, laissant les passants totalement choqués. « Oh mon dieu, on va faire quoi ! Vous êtes de la police je suppose, il faut faire quelque chose ! » Dit-elle totalement paniquée.

« Bonjour,
Nous avons constaté que le sujet suivant n'a pas reçu de réponse depuis un moment, nous vous laissons jusqu'au 13 octobre sinon, le sujet sera verrouillé.
Merci de votre compréhension. »

Abandonné & verrouillé.